Indices
Eric Bissonnier
Performance watcher
Indices PWI+ Avril – avis de tempête sur les marchés
Le digital, ou la transformation digitale, s’apparente pour beaucoup à un parcours du combattant, en raison des obstacles qui l’encombre. Pour s’épargner quelques complications, Brewen Latimier suggère donc de privilégier une approche plus construite en amont.
Les banques privées suisses ont beaucoup investi dans l’amélioration de l’expérience client et de l’efficacité opérationnelle grâce à des projets de transformation digitale qui portent sur l’automatisation, la digitalisation et l’externalisation des processus. Les nouvelles technologies, notamment l’IA et le cloud hybride, offrent désormais aux gérants indépendants un accès aux mêmes solutions. L’IA permet par exemple de réduire les écarts de taille entre institutions en simulant des équipes qui travaillant 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Elle offre ainsi un avantage compétitif majeur à ceux qui l’adoptent rapidement. En revanche, les GFI qui tardent à suivre ces tendances auront du mal à survivre dans un environnement où la réglementation s’intensifie et où la pression sur les marges ne cesse de croître.
Pour être sûr de rester compétitif, les GFI doivent réfléchir à leur stratégie digitale en suivant 3 étapes :
Bien sûr la digitalisation doit être réfléchie et le budget sera fonction des ambitions poursuivies.
Pour chacune de ces trois étapes, voici les principes les plus importants.
Pour toute transformation digitale, il faut commencer par faire l’état des lieux et se fixer ensuite des objectifs. Ce travail passe par une formulation claire de la vision de l’entreprise, qui peut différer du tout selon le profil et les ambitions des GFI. Cette mise à plat nécessite souvent un temps de réflexion important à ne surtout pas négliger car il dictera la stratégie des 3 à 5 prochaines années.
Une fois cette vision exprimée, il conviendra de la décliner en objectifs stratégiques qui devront tous s’aligner sur elle. Ces objectifs se concentrent d’une part sur les clients – marchés cibles, user experience, reporting – et d’autre part sur l’interne – modes opératoires, gestion des risques, analyse du marché, amélioration de la marge…
Les plans d’actions dépendent fortement de la maturité de chaque gérant. Idéalement, il faut les mettre en œuvre en commençant par les projets dits “quick win” qui, grâce à des retours sur investissement très courts, permettent de financer les projets plus “lourds”, à forte valeur ajoutée.
Une feuille de route type peut démarrer par l’optimisation des processus et la digitalisation de la documentation. Elle se poursuit avec le déploiement d’outils CRM modernes pour mieux gérer sa clientèle et des modèles PMS prenant en compte de nombreuses fonctionnalités telles que la gestion des risques, le reporting, ou le rebalancing dynamique… Elle s’achève avec la mise en place d’initiatives rendues possibles par l’intelligence artificielle pour améliorer la personnalisation client ou la sélection et l’analyse des produits financiers.
Avec un outil CRM, pour ne prendre que cet exemple, les GFI centralisent les informations clients et renforcent leur sécurité. Ils profitent aussi de nombreuses fonctionnalités qui permettent d’améliorer l’expérience client et de mieux gérer les processus ou les contrôles de conformité. Ils voient surtout se réduire le temps alloué aux tâches administratives, temps qu’ils peuvent alors consacrer à leurs clients.
Grâce aux avancées technologiques, ce qui était impensable il y a encore trois ans est désormais accessible à la plupart des gérants. Ces projets réclament des fonds et du temps mais les retours sur investissement sont rapides. De plus, ils procurent des avantages concurrentiels en même temps qu’ils tirent les valorisations vers le haut.
Il faut cependant veiller à ce que les outils ne soient pas sous-exploités par les collaborateurs, faute d’adhésion. Le déroulement des futures initiatives de transformation s’en verrait perturbé. La partie formation et la conduite du changement ne doivent donc pas être négligées.
En résumé, la mise en œuvre de projets digitaux chez les gestionnaires de fortune indépendants nécessite une approche holistique, axée sur les besoins spécifiques de l’entreprise et sur l’engagement du personnel. Avec une planification minutieuse et une exécution efficace, ils peuvent vraiment tirer parti des avantages de la transformation digitale pour améliorer leur efficacité opérationnelle et leur compétitivité sur le marché. Cette transition est de toute façon devenue un impératif. Les gérants qui s’engageront vite dans cette dynamique bénéficieront d’un avantage concurrentiel durable, tandis que ceux qui tardent risquent d’être distancés dans un environnement en constante évolution.
Brewen Latimier
Colombus Consulting
Brewen Latimier occupe les fonctions de Manager chez Colombus Consulting, où il est en charge du secteur des services financiers pour la Suisse. Il a plus de 15 d’expérience dans ce secteur. Après un début de carrière dans la direction financière d’une banque, il a rejoint le monde du conseil où il participe à de nombreux projets de transformation digitale à travers l’Europe et la Suisse pour des institutions financières. Il a récemment mis en place différentes stratégies digitales et data pour ses clients.
Sener Arslan
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«Un PMS performant peut apporter un avantage décisif aux gérants indépendants».
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Pulsar Media a lancé cette semaine une application IA pour faciliter la production de contenus, à une fréquence plus soutenue. Elle s’appelle Typr et permet par exemple d’alimenter de manière plus régulière des formats de type newsletters ou posts LinkedIn.
Pulsar Media, le cabinet suisse spécialisé dans la communication d’entreprise, la gestion de crise et le leadership d’opinion, a lancé cette semaine une application IA, baptisée Typr, pour la création de contenus à l’usage des professionnels de la communication. « Typr est un outil basé sur l’IA générative, qui leur permet de rationnaliser les processus de création et de production de contenus, précise Sherif Mamdouh, son initiateur. Avec Typr, nous voulons introduire une nouvelle norme pour la création de contenus, qui fasse le lien entre les métiers, ou les techniques de la communication et les dernières avancées en matière d’intelligence artificielle ». Typr est disponible aujourd’hui en allemand, en anglais et en français. Il a été paramétré pour répondre plus spécifiquement aux besoins Marketing & Communication dans les secteurs de la finance, de l’immobilier, de l’hôtellerie et de l’éducation. Le wealth management entre naturellement dans son périmètre.
Typr permet de produire différents types de contenus, tels que des communiqués de presse, des blogs, des analyses, des opinions ou des contributions éditoriales. Il propose différentes options en termes de de tonalité et de langage pour garantir que le storytelling soit aligné sur la stratégie de communication et l’identité de marque. « Nous avons voulu faciliter au maximum le processus de création avec une interface simple, intuitive qui accompagne les utilisateurs étape par étape dans la mise en forme de leurs idées, ajoute Sherif Mamdouh ».
Typr est alimenté par un corpus spécialisé important, notamment dans le domaine de la finance, ce qui lui permet de générer des contenus personnalisés et ciblés selon les audiences. Il permet par exemple de mettre en œuvre plus facilement, et d’animer plus fréquemment des publications destinées à des newsletters ou à des posts sur les réseaux sociaux, avec un impact fort sur la relation-client. Il limite le caractère habituellement chronophage lié à la production de ces contenus en génèrant des gains de temps significatifs, tant pour la partie recherche que pour la partie écriture.
Par ailleurs, Typr opère exclusivement sur des serveurs localisés en Suisse, sur lesquels il est hébergé, pour répondre à ces impératifs que sont la sécurité des systèmes et la protection des données.
Plus d’informations :
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Les indices boursiers mondiaux volent actuellement de record en record. La plupart des véhicules d’investissement passifs sont conçus pour répliquer ces indices. Or, de nombreuses valorisations ne tiennent pas forcément compte des anticipations en termes de revenus et de bénéfices, comme l’explique Gregor Trachsel.
L’objectif d’une stratégie d’investissement fondée sur la substance est d’identifier et d’investir dans des entreprises dont le cours actuel reflète de faibles attentes quant à leur véritable valeur économique. Cette discipline permet de tendre à une décote globale du globale, qui va servir alors de base pour générer de solides rendements à long terme.
Actuellement, il est possible d’identifier des titres sous-valorisés en se concentrant sur quatre sources principales Premièrement, bon nombre d’entreprises ont un pouvoir de fixation des prix de leurs produits et services plus solide que ne le suggère leur valorisation actuelle. Dans des secteurs tels que l’ingénierie, le transport et le commerce de gros, les entreprises peuvent par exemple assurer leurs prix en ayant recours à la méthode Cost Plus. De récentes crises adversités récentes telles que la pandémie, avec les perturbations des chaînes d’approvisionnement qui en ont suivi ou l’envolée de l’inflation, avec un impact fort sur les coûts des intrants, ont rendu la gestion de l’exécution des commandes, de la production et de la livraison exceptionnellement difficile. Dans de nombreux cas, ces défis ont temporairement entraîné des écarts importants entre les prix de revient et les prix atteints. Avec la stabilisation progressive des échanges commerciaux, une nouvelle structure de prix se dessinera, qui permettra alors de dégager à nouveau des marges brutes, normalisées et redevenues attrayantes.
Deuxièmement, les entreprises disposent en réalité de moyens nettement sous-estimés pour améliorer leur mix prix/volume, ne serait-ce en élargissant leur offre de produits et de services. Les producteurs de cellulose peuvent utiliser cette matière pour fabriquer non seulement des mouchoirs, du papier et du carton, mais aussi des vêtements, des biocarburants et des matériaux spéciaux. Ou, pour s’intéresser aux matériaux de construction, les fournisseurs de composants individuels comme le ciment ou le verre peuvent se transformer en fournisseurs de solutions complètes, dans le domaine par exemple des enveloppes de bâtiments.
Troisièmement, nous voyons bien que les entreprises actives dans des secteurs à croissance structurellement faible réduisent souvent leur base de coûts plus efficacement qu’on ne le pense. En particulier dans les secteurs à forte production de masse, comme la sidérurgie ou l’agriculture, les entreprises voient généralement plus loin que la phase actuelle du cycle économique et s’efforcent d’améliorer la productivité des ressources et de la main-d’œuvre. Elles partent en effet du postulat que l’environnement commercial restera durablement contraignant
Enfin, quatrième point, la persévérance des entreprises à rendre l’exploitation du capital plus efficace tend à être sous-estimée. Dans les secteurs à coûts fixes élevés, tels que les télécommunications, les services publics et la production de biens d’équipement, elles sont constamment obligées d’améliorer la rentabilité de leurs investissements, en particulier lorsque les charges d’intérêts augmentent. Sur ce point, nous sommes convaincus que la forte immobilisation du capital peut se voir comme une chance malgré tout: les chefs d’entreprise sont généralement incités à optimiser en permanence le capital investi par rapport à la capacité bénéficiaire normalisée de l’entreprise.
Pour conclure, nous partons du principe que les modèles commerciaux de nombreuses entreprises aboutissent à une création de valeur plus diversifiée qu’il n’y paraît à première vue. Comme nous venons de l’expliquer, la dynamique récente de l’environnement opérationnel a créé d’importantes opportunités de rattrapage, grâce à (1) un plus grand pouvoir de fixation des prix, (2) un meilleur mix prix/volume, (3) une structure de coûts plus légère et/ou (4) une efficacité accrue du capital.
Gregor Trachsel
SG Value Partners
Gregor Trachsel est le Chief Investment Officer de SG Value Partners à Zurich. Avec son équipe, il gère depuis plus de 20 ans des mandats d’actions deep value et des fonds de placement mondiaux avec un horizon de placement à long terme. Depuis 2020, il a choisi la voie de l’indépendance avec SG Value Partners. Auparavant, il développait la même stratégie d’investissement chez M.M. Warburg (Switzerland) et chez Credit Suisse Asset Management à Zurich.
Mirjana Wojtal a pris l’an passé les fonctions de CEO pour la CFA Society Switzerland, avec un programme dense qui va au-delà de la seule gestion de portefeuille. Exemples : un guide de l’investissement sera bientôt publié pour les caisses de pension et de nouvelles formations sont mises en route pour les gestionnaires de fortune en Suisse.
Vous avez pris le poste de CEO l’année dernière. Quels sont vos principaux objectifs avec la CFA Society Switzerland ?
Nous sommes la grande association réunissant des professionnels de l’investissement en Suisse. Nous représentons quelques 3’500 membres. Nous avons la responsabilité de façonner l’avenir du secteur en défendant des valeurs comme le professionnalisme, l’éthique, l’éducation et l’intégrité – qui sont les principaux facteurs de confiance des investisseurs. Mais nous voulons également atteindre nos objectifs stratégiques en offrant à nos membres des opportunités de développement professionnel, des événements de réseautage et des ressources éducatives – afin qu’ils aient toujours une longueur d’avance sur leur temps.
Quelles sont vos prochaines étapes ?
Nous publierons bientôt notre première prise de position sur la gouvernance des investissements dans les caisses de pension suisses. Il s’agit d’un guide concret pour leurs conseils de fondation. Nous sommes fermement convaincus que les meilleures pratiques décrites dans notre document servent au mieux les intérêts de toutes les parties concernées, en particulier les bénéficiaires de ces caisses.
Un diplôme CFA est toujours considéré comme l’étalon-or en matière de formation financière. Comment maintenir ce standard ?
Le programme CFA évolue constamment pour s’adapter à l’évolution des marchés financiers. En 2023, nous avons introduit des mises à jour importantes. De nouveaux modules couvrent la modélisation financière, les compétences d’analyste et Python pour les gestionnaires de portefeuille. Avec ces modules, les candidats apprennent à appliquer directement sur le lieu de travail ce qu’ils ont appris dans le programme. En outre, au niveau III, nous avons introduit des formations spécifiques axées sur la gestion de fortune privée et les marchés privés, tout en conservant la voie traditionnelle de la gestion de portefeuille.
Comment avez-vous réagi à la baisse du nombre de candidats que l’on peut ressentir dans le monde entier ? Ou est-ce que la Suisse fonctionne différemment ?
Après avoir diminué pendant la pandémie, le nombre de candidats CFA reparrt à la hausse – en Suisse, nous sommes sur le point d’atteindre le niveau d’avant la pandémie. Pour ceux qui ne sont pas encore prêts à se lancer dans l’aventure, le CFA Institute propose des options d’apprentissage pour commencer, ainsi que des cours et des certificats ciblés pour acquérir des compétences à chaque étape du parcours professionnel.
De quelle manière les récentes crises financières ont-elles changé la formation dans le domaine bancaire et financier ?
Les crises financières et l’avenir incertain du secteur ont considérablement changé la donne. Ils ont mis en évidence chez les investisseurs professionnels la nécessité d’avoir un état d’esprit axé sur la croissance et l’agilité. Les progrès technologiques rapides et l’importance croissante prise par l’IA, l’apprentissage automatique et le big data renforcent encore le besoin d’un apprentissage et d’une adaptation continus. Pour les préparer à l’évolution du secteur, nous encourageons nos membres à développer des compétences en forme de T, avec une expertise approfondie à laquelle vient s’ajouter avec une compréhension plus large dans différents domaines. C’est ainsi, il faut se former et se requalifier en permanence !
Comment encouragez-vous les jeunes femmes à s’impliquer davantage dans le secteur financier ?
Nous nous engageons avec passion pour que les femmes puissent réussir dans le secteur financier. Nous savons qu’une main-d’œuvre diversifiée donne de meilleurs résultats pour toutes les parties concernées. C’est pourquoi nous avons fait une priorité de la création d’un environnement dans lequel les femmes trouvent du soutien pour entrer dans la vie professionnelle, et plus encore pour s’affirmer et exceller. L’une de nos initiatives phares est l’organisation de webinaires pour les femmes dans la finance, en collaboration avec des cadres supérieurs. En plus de nos efforts en interne, nous sommes fiers d’élaborer cette année, en collaboration avec le CFA Institute, un code complet pour la diversité, l’égalité et l’inclusion en Europe.
Mirjana Wojtal
CFA Society Switzerland
Mirjana Wojtal est la Chief Executive Officer de la CFA Society Switzerland depuis juin 2023. Auparavant, elle co-dirigeait le Comité des relations avec le monde universitaire. Dans ce cadre, elle était responsable du développement de la stratégie et de la mise en œuvre du CFA Institute Research Challenge. Neurobiologiste de formation, Mirjana a travaillé auparavant comme conseillère scientifique et directrice de programme pour une organisation à but non lucratif, un family office ainsi que pour les universités de Zurich et de Groningen.
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Conçue à l’origine pour que les gérants puissent comparer leurs performances avec leurs pairs, Performance Watcher poursuit sur la même voie en proposant en parallèle de plus en plus d’outils de reporting destinés aux clients.
Ça sert à quoi ?
Performance Watcher est une plateforme en réseau qui permet aux gestionnaires d’évaluer et de suivre les performances de leurs portefeuilles en les comparant avec d’autres portefeuilles présentant un même budget de risque. L’application comporte de multiples fonctionnalités, dont plusieurs systèmes d’alerte et outils de reporting. Elle permet à ses utilisateurs d’accéder aux outils de comparaison quotidiens tout en conservant l’anonymat comme paramètre par défaut. Les personnes extérieures à l’organisation n’ont aucun accès aux données des portefeuilles. En revanche, les gestionnaires ont une vue globale sur les performances et les risques agrégés pour l’ensemble de la communauté.
Ça apporte quoi de plus ?
Avec Performance Watcher, les gestionnaires de portefeuille disposent d’une solution très simple et ultra-sécurisée pour transmettre en tout temps à leurs clients des informations clés sur le comportement de leur compte. La manière claire et transparente avec laquelle cette information est diffusée permet d’entretenir avec les clients des relations fondées sur la confiance.
Performance Watcher propose également un suivi rigoureux des risques, en rationalisant ce processus grâce à des calculs quotidiens et des alertes, et en éliminant ainsi le recours aux manipulations fastidieuses de feuilles de calcul.
Enfin, Performance Watcher propose plusieurs solutions de reporting, entièrement automatisées, avec un travail en profondeur sur l’analyse des performances, leur visualisation et leur communication. Les rapports détaillés, modulables et personnalisables, permettent aux gestionnaires de bien mettre en scène leurs portefeuilles et d’en contextualiser les performances selon de multiples paramètres.
Ça s’adresse à qui ?
L’application Performance Watcher s’adresse principalement aux professionnels de la gestion, tels que banquiers, gérants indépendants, family officers et trustees qui veulent privilégier pour leurs clients la transparence, le suivi de la performance et le contrôle du risque jour après jour.
Qui est derrière ?
Performance Watcher a été créé par Nicholas Hochstadter qui a d’abord travaillé au Credit Suisse puis à la banque Ferrier Lullin & Cie. Au Credit Suisse, il a géré, entre autres, le projet PMnet, premier système totalement automatisé pour l’implémentation du portfolio management. En lançant Performance Watcher, il a voulu replacer ces modèles d’évaluation dans une configuration plus accessible aussi bien pour les gestionnaires que pour les clients. Après avoir passé plus de 25 ans dans l’asset management, notamment comme CIO de E.I.M., Eric Bissonnier l’a rejoint voilà maintenant deux ans pour assumer la direction générale de la plateforme.
Combien ça coûte ?
La licence Administrateur est disponible à partir de 200 francs par mois. Plusieurs fonctionnalités supplémentaires peuvent venir se greffer dessus comme le perfomètre, les services d’alerte, la génération de rapports, la visualisation dynamique de la performance et du risque ou encore la création de composites.
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