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Eric Bissonnier
Performance watcher
Indices PWI+ Avril – avis de tempête sur les marchés
Un logiciel de gestion d’entreprise avec un outil CRM très avancé
Chaque semaine, vous voulons vous présenter différentes solutions digitales susceptibles de contribuer à l’optimisation des process, de la construction de portefeuille ou de la relation-client. Cette semaine, nous nous intéressons à Odoo, un logiciel ERP (Enterprise Resource Planning) modulable qui intègre un outil CRM avancé, disponible également en tant que module distinct.
Odoo appartient à famille des ERP, pour Enterprise Resource Planning, des logiciels de haute volée qui servent aux entreprises à gérer un grand nombre de leurs activités. La comptabilité, les achats, le processus commercial, la relation client, les RH, la gestion de projets et la logistique entrent par exemple dans le périmètre de ces systèmes. « Des ERP comme celui d’Odoo peuvent désormais couvrir l’ensemble des besoins d’une entreprise », explique Jean-Marc Vandel, le CTO d’Open Net Sàrl, spécialisée dans l’implémentation du logiciel. « Ils permettent de fluidifier les processus et de simplifier beaucoup de fonctions. L’avantage d’Odoo, s’il fallait le comparer à Oracle ou SAP, c’est qu’il est particulièrement adapté aux PMEs qui emploient de 10 à 300 collaborateurs ».
L’une des caractéristiques d’Odoo est sa capacité à s’ajuster aux besoins de chaque entreprise. Ses utilisateurs peuvent sélectionner les modules qui leur sont nécessaires et personnaliser l’interface pour répondre à leurs exigences particulières. « Odoo en est aujourd’hui à un stade très avancé, ajoute Jean-Marc Vandel. Il est ergonomique, flexible, modulaire et offre une grande profondeur en termes de fonctionnalités. Il est capable de couvrir le processus commercial dans sa totalité, du CRM jusqu’au SAV et au Helpdesk. Il comprend aussi des outils qui permettent de créer puis de gérer un site web Corporate, et d’y intégrer une boutique en ligne avec des systèmes de paiements qu’il est possible de raccorder à plusieurs solutions bancaires.
Pour s’en tenir au secteur de la gestion de fortune, Odoo a quelques avantages spécifiques à faire valoir. Les banques privées et les sociétés de gestion peuvent l’exploiter comme plateforme intégrée pour gérer entre autres les relations clients, les portefeuilles d’investissement, et la conformité réglementaire.
Odoo est enfin livré avec plusieurs fonctionnalités CRM pour traiter les informations clients, suivre les interactions, et exploiter différentes pistes de prospection. « En fait, il est possible de ne prendre que la brique CRM chez Odoo, précise Jean-Mac Vandel. On peut ensuite rajouter d’autres modules, selon les besoins. Il est vrai que le CRM d’Odoo apporte beaucoup dans le cadre de la relation client, de par sa facilité d’usage. Il comprend par exemple un outil de dédoublonnage, pour que la base soit nettoyée en permanence et que les données clients & prospects restent propres. Avec le CRM d’Odoo vient aussi un outil Newsletter avec des informations mailing qui restent liées systématiquement aux fiches clients ou prospects ».
Au-delà du CRM, Odoo est capable également d’accompagner les gestionnaires dans le suivi des portefeuilles, y compris les cryptomonnaies, les analyses de performance ou la création de rapports personnalisés, pour lesquels la demande n’a jamais été aussi forte qu’en ce moment.
A l’ère LSFin/LEFin, Odoo peut jouer aussi un rôle dans le domaine de la compliance. Il est équipé pour automatiser différents processus de conformité, et à générer des rapports de conformité pour se caler sur les exigences du régulateur, de plus en plus gourmand en la matière.
En termes de coût, il faut bien distinguer la licence d’exploitation et l’implémentation du logiciel. Odoo est un ERP Open Source avec une version Community gratuite et une version Entreprise. Dédiée aux entreprises, la licence Custom est facturée environ 40 francs par mois. À cela s’ajoute la configuration du logiciel aux dimensions de l’entreprise et la formation des collaborateurs. Selon la taille de l’entreprise et le nombre de modules requis, le budget peut varier de 5’000 à 30’000 francs.
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Reichmuth & Co voit aujourd’hui un potentiel de croissance important en Allemagne, où les clients fortunés recherchent des alternatives dans le domaine des investissements. La banque privée lucernoise s’est donc décidée à y renforcer son équipe. Jürg Staub s’explique sur cette stratégie.
Vous vous êtes fixé pour objectif d’étendre votre dispositif en Allemagne. Vous avez désormais deux sites, l’un à Munich et l’autre à Düsseldorf. Quelle valeur ajoutée pensez-vous pouvoir offrir aux clients allemands ?
En Europe, et en particulier en Allemagne, l’économie patine, et la confiance dans la politique ainsi que dans l’État diminue. Les clients cherchent par conséquent des alternatives. Ils menacent de partir à l’étranger, à la recherche de nouvelles idées d’investissements, et ils se sentent en même temps suffisamment forts, suffisamment responsables, pour prendre cette décision.
Nous comprenons leur frustration. Ils ont besoin de pouvoir mettre librement en œuvre leur créativité et de profiter de conditions-cadres qui les soutiennent et ne les entravent pas. En tant que banquiers privés suisses, nous partageons leur point de vue et sommes capables de leur apporter des solutions.
À quels groupes de clients vous adressez-vous ?
Notre marché cible est l’Europe germanophone, en particulier la Suisse et l’Allemagne. Nous nous adressons à une clientèle d’entrepreneurs et de particuliers fortunés. En tant qu’entreprise familiale gérée par ses propriétaires et ses associés personnellement responsables, nous savons aussi prendre nos responsabilités et nous invitons nos clients à investir avec nous. Notre concept de gestion de fortune intégrale est au cœur de notre démarche. Nous disposons en outre d’une forte expertise dans les placements en infrastructures. Nous investissons activement, avec nos clients, dans de nouveaux modes d’approvisionnement pour les énergies renouvelables et dans des systèmes de transport respectueux de l’environnement. Pour ce type de placements, nous travaillons aussi concrètement sur le marché allemand des investisseurs institutionnels.
Dans quel domaine voyez-vous la demande augmenter, tant du côté de l’origine des clients que du côté des produits ?
Le cœur de notre ADN a toujours été la préservation de la valeur, le pouvoir d’achat sur plusieurs générations et l’accroissement du patrimoine. Notre philosophie d’investissement est axée sur le long terme, la valeur réelle et l’ouverture sur le monde. Nous considérons les évolutions internationales et les tendances du marché pour décider ensuite de nos allocations entre actifs liquides et illiquides. Outre les placements traditionnels, nous voyons des opportunités complémentaires dans les domaines de l’infrastructure, de l’agriculture, du private equity, y compris des fonds de venture-capital. Depuis de nombreuses années, nous travaillons aussi sur le marché suisse en partenariat avec PensExpert, qui propose des solutions de prévoyance vieillesse professionnelle innovantes. Nous adaptons donc ces solutions pour le marché allemand, et elles y prennent de plus en plus d’ampleur auprès des entreprises.
Comment jugez-vous en général le climat pour les banques privées en Suisse, compte tenu de la réglementation mais aussi de la nouvelle génération de clients ?
La réglementation a ses bons et ses mauvais côtés. Le naufrage du Credit Suisse montre que la réglementation ne fonctionne pas sans qu’il faille y mettre certaines réserves. Les mesures de régulation sont souvent aussi un fardeau pour nos clients. Bien entendu, en tant que banque, nous devons respecter les règles, mais nous nous y efforçons toujours de manière aussi légère et responsable que possible, dans l’intérêt des clients.
La jeune génération est certainement beaucoup plus éclairée en matière de durabilité et de technologie. Mais il est intéressant de voir qu’ils sont demandeurs eux-aussi de relation personnalisées, basées sur la confiance.
Jürg Staub
Reichmuth & Co
Jürg Staub est associé indéfiniment responsable de la banque privée lucernoise Reichmuth & Co depuis 2005. Il a été CEO de 2015 à 2020 et, après avoir passé le flambeau à Remy Reichmuth, il se concentre désormais sur le développement de l’entreprise en Allemagne. Au total, la banque privée et ses trois associés à responsabilité illimitée gèrent des actifs d’environ 13 milliards de francs suisses et emploient 130 collaborateurs. Jürg Staub a commencé sa carrière en tant que négociateur boursier à la Banque cantonale de Zoug et a ensuite occupé différents postes dans des banques privées.
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La demande en smart materials prend de plus en plus d’ampleur. Les smart materials, ce sont ces matériaux intelligents, capables de modifier leurs propriétés, qui ouvrent de nouveaux champs d’application dans des domaines comme la médecine, ou l’industrie automobile, pour ne citer qu’eux. Il en va ainsi des matériaux à mémoire de forme ou des matériaux piézoélectriques. Pieter Busscher y voit là une opportunité d’autant plus intéressante qu’elle répond à une stratégie d’investissement qui se déploie sur deux axes.
Cette approche double signifie que les investisseurs se concentrent à la fois sur des entreprises pionnières dans le développement de matériaux supérieurs – les producteurs – et sur celles qui en permettent une exploitation plus efficace – les créateurs. Cette stratégie garantit un engagement total sur la chaîne de valeur de l’innovation permise par ces matériaux. 90 % des entreprises dans lesquelles il est possible d’investir proviennent des secteurs de l’informatique, de l’industrie et des matériaux, mais la priorité est d’abord accordée aux valeurs qui ont une vraie pertinence sur ce thème, plutôt qu’aux grands noms habituels de ces secteurs.
Malgré un environnement parfois difficile, la stratégie a montré ses capacités de résistance en 2023. La dichotomie des performances propre à cette stratégie souligne bien le contexte différencié dans lequel elle opère.
Du côté des producteurs, le cluster a dû affronter des vents contraires en raison de la baisse de la demande, du déstockage et de la chute des prix des matières premières, ce qui a eu un impact négatif sur les performances.
Du côté des créateurs, les performances ont été en revanche exceptionnelles. Ils ont bénéficié des progrès de la technologie et des équipements, essentiels pour la prochaine génération de recyclage des matériaux.
Libérer le potentiel – Récompenses asymétriques
Investir dans cette thématique devient donc d’autant plus intéressant, car les producteurs et les créateurs offrent désormais, chacun de leur côté, un profil de rémunération asymétrique.
Pour les producteurs, le potentiel de hausse est à la fois structurel et conjoncturel. Avec la décarbonisation de l’économie mondiale, le passage des combustibles fossiles aux métaux comme le lithium, le cuivre et le nickel est inévitable, poussé par la demande de véhicules électriques et de solutions énergétiques propres. Les prix des métaux étant actuellement modérés, un retournement imminent de la demande pourrait profiter considérablement à ces matières premières. Les bâtiments étant les principaux responsables des émissions de gaz à effet de serre, il existe une forte demande de matériaux pour l’isolation et l’amélioration de l’efficacité énergétique.
Pour les créateurs – ou les « enablers » – les perspectives de croissance sont alimentées par les progrès technologiques dans les domaines de l’équipement, de l’automatisation et des logiciels, appelés à jouer un rôle fondamental dans la mise en application des smart materials de la prochaine génération.
Les appareils modernes, comme ceux qui exploitent l’IA, nécessitent des technologies de puces plus sophistiquées, augmentant ainsi la demande en équipements avancées pour les semi-conducteurs, tant dans un avenir proche que lointain. En plus de ce puissant moteur structurel, le déstockage de plusieurs marchés finaux prendra probablement fin en 2024, ce qui entraînera une reprise de la demande pour des équipements avancés, comme les instruments biomédicaux et les testeurs industriels.
L’automatisation industrielle est une réponse à la baisse de la population et à la nécessité pour les gouvernements de sécuriser les chaînes d’approvisionnement stratégiques, comme c’est le cas dans la fabrication de batteries. Après bientôt deux ans, les investissements mondiaux dans l’industrie manufacturière semblent avoir atteint des plus bas et tous les grands acteurs dans le domaine de l’automatisation s’attendent à ce que la demande reprenne cette année. Il est clair que l’intelligence artificielle va prendre une importance significative dans ces développements.
Un risque de baisse limité et des perspectives de croissance
Il est important de toujours tenir compte du positionnement stratégique afin de profiter à la fois des reprises cycliques immédiates et des changements structurels à long terme de l’économie mondiale. En investissant dans un pareil mix de producteurs et de créateurs, il est possible de tirer profit de la demande croissante de matériaux intelligents, rendue nécessaire par la décarbonisation, les progrès technologiques et l’évolution vers un monde plus durable.
Pieter Busscher
Robeco
Pieter Busscher est gestionnaire de portefeuille chez Robeco depuis 2007. Il a travaillé chez Credit Suisse Asset Management à Zurich. Pieter est titulaire d’un bachelor en commerce international de l’université RSM Erasmus, d’un master en banque et finance de l’université de Saint-Gall et il détient la certification CFA.
Fin mars, Alpian et SmartPurse ont lancé à Zurich SheWealth Collective, une initiative destinée à promouvoir l’émancipation des femmes dans le domaine de la finance en Suisse. Marion Fogli, pour Alpian, en explique les principes.
Quelles raisons ont mené à la création de SheWealth?
Nous avons créé SheWealth avec SmartPurse pour offrir aux femmes en Suisse un espace où elles peuvent non seulement s’épanouir financièrement, mais aussi s’entraider et grandir ensemble. Dans ce voyage, il ne s’agit pas seulement de chiffres et de comptes. Nous avons plutôt eu cette vision d’un écosystème où chaque femme, peu importe où elle se trouve dans son parcours financier, trouve du soutien, de l’inspiration, et de l‘empowerment’. Alpian est une banque privée digitale, SmartPurse est une plateforme d’éducation dédiée à la finance. Ensemble, nous nous sommes dit que nous pouvions initier cette communauté, et l’animer pour faire changer les choses.
Je reviens sur ce concept d’empowerment’. En français, on parle d‘autonomisation’. Il faut y voir la capacité de chaque individu à prendre le contrôle de sa vie, à se donner les moyens, les ressources et la confiance nécessaires pour influer sur son propre environnement, prendre des décisions éclairées et être maître de ses choix. Ramenée dans le contexte de SheWealth, l’autonomisation fait référence à l’émancipation financière des femmes, à leur capacité de comprendre et de gérer leur argent, de manière à ce qu’elles puissent réaliser leurs ambitions et sécuriser leur avenir. C’est donc un pilier central de notre mission : nous voulons non seulement fournir aux femmes qui nous rejoignent les outils et les connaissances nécessaires, mais aussi leur proposer un environnement où elles se sentent soutenues et suffisamment informées pour décider de leur propre itinéraire financier.
Quels objectifs vous êtes-vous fixés?
Notre ambition avec SheWealth repose sur trois points. Il y a d’abord eu le lancement de la communauté, courant mars, avec une mission clairement définie. Nous voulons ensuite bâtir un réseau actif de femmes déterminées à réussir financièrement. Enfin, par notre action, nous souhaitons illustrer l’engagement d’Alpian à promouvoir l’autonomisation financière des femmes.
Quel type de profils souhaitez-vous réunir au sein de cette communauté?
Nous souhaitons réunir des femmes cosmopolites, à différentes étapes de leur carrière financière, qui cherchent un cadre de soutien dédié à la connaissance financière, à l’autonomisation et à l’avancement professionnel. Mais l’esprit de SheWealth s’étend au-delà : nous allons aussi accueillir les hommes qui soutiennent notre vision d’équité économique, pour créer ainsi un écosystème qui ancre l’inclusion dans ses valeurs fondamentales.
Quelles actions comptez-vous désormais entreprendre avec SheWealth?
La soirée d’inauguration de SheWealth a eu lieu fin mars à Zurich. Nous allons poursuivre sur notre lancée, en organisant des séminaires, des ateliers, des podcasts et en mettant en place des réseaux de soutien pour favoriser l’indépendance financière. Chaque action entreprise viendra renforcer cet écosystème où chaque membre peut apprendre, partager et prospérer.
Quel rôle Alpian entend jouer dans le développement de SheWealth ?
Alpian n’est pas juste un soutien. C’est le pilier sur lequel repose SheWealth. Nous mettons à profit notre expertise dans le domaine de la gestion de patrimoine pour éduquer, inspirer et procurer les bons outils à notre communauté. Notre rôle va au-delà de l’accompagnement financier ; nous nous engageons à être un partenaire actif dans la croissance de SheWealth, car nous avons envie de contribuer à un avenir où l’autonomie financière est accessible à tous.
Plus d’informations:
SheWealth Collective: Financial education for the global woman | i-vest by Alpian
Marion Fogli
Alpian
Marion Fogli est la directrice générale adjointe d’Alpian, la première banque privée digitale qui ait vu le jour en Suisse. Son parcours professionnel lui a permis d’établir de solides fondations dans les secteurs des services financiers et de la gestion de patrimoine, avec une expertise plus poussée dans la gestion de l’expérience client et de la conduite de projets digitaux. Marion est titulaire d’un bachelor de l’école hôtelière de Lausanne et d’un Executive MBA de l’IMD, complétés par des formations avancées en finance durable, en intelligence artificielle et en gestion de crise.
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