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Alex Roll
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Comment accroître le potentiel de ses revenus grâce aux ETF Covered Call
La révolution des crypto-actifs ne se résume plus au seul Bitcoin : elle englobe désormais des segments entiers, depuis les stablecoins jusqu’aux protocoles de finance décentralisée. Face à cette mutation rapide, et complexe, l’investissement indiciel offre une voie claire et disciplinée pour saisir la dynamique globale du marché sans dépendre d’un pari unique. Explications de Samir Kerbage.
Le marché des crypto actifs n’est pas une histoire unique. En quinze ans, il est passé d’une expérimentation marginale à un écosystème mondial avec plusieurs secteurs florissants. Rien qu’en 2025, on a observé un regain de vigueur du Bitcoin en tant qu’or numérique, une expansion continue des plateformes de smart contracts, un rôle croissant pour les stablecoins et les actifs tokenisés, ainsi que l’essor des réseaux d’infrastructure décentralisés.
Pour les investisseurs, cette dynamique est synonyme à la fois d’opportunité et de complexité. Choisir un seul actif, ou même quelques-uns, revient à prendre un risque de concentration et à tenter de deviner quelle blockchain ou application dominera à l’avenir. L’histoire des marchés traditionnels montre à quel point cet exercice est difficile. Dans les années 1980, le S&P 500 était dominé par des géants de l’industrie et de l’énergie ; aujourd’hui, ce sont les plateformes technologiques qui mènent. Le crypto vit une transition similaire : ce qui était pertinent il y a cinq ans pourrait ne plus définir le prochain cycle.
C’est dans ce contexte que le Nasdaq Crypto Index™ (NCI™) apporte de la clarté. Développé par Nasdaq en partenariat avec Hashdex, le NCI a été conçu comme un indice de référence pour les investisseurs professionnels. Sa méthodologie apporte structure et transparence à un marché en évolution rapide, en capturant les segments les plus pertinents de l’économie numérique tout en filtrant le bruit et les risques idiosyncratiques.
En 2025, le NCI représente un panier diversifié d’actifs reflétant l’ensemble de l’économie crypto. Cela signifie une exposition non seulement au Bitcoin et à l’Ethereum, mais aussi à 7 autres actifs, incluant des plateformes alternatives de smart contracts (comme Solana et Cardano), leur infrastructure de données (Chainlink), des applications de paiement numérique (comme Ripple et Litecoin), et des protocoles de finance décentralisée. Grâce à des critères d’éligibilité stricts mais évolutifs, le NCI pourrait intégrer à terme des actifs liés à la tokenisation des actifs réels, aux réseaux d’infrastructure physique décentralisés (DePIN), ou encore à l’intelligence artificielle.
Depuis le début de l’année (au 27 août), le NCI affiche une performance de +22,20%, supérieure à celle du Bitcoin (+19,91%). Le NCI a largement bénéficié de la forte progression de l’Ethereum (+37%) et du XRP (+43%), illustrant la valeur ajoutée d’un panier diversifié, où d’autres tokens peuvent générer des performances supérieures au Bitcoin.
Tenter d’anticiper quel token, plateforme ou application dominera la prochaine décennie est extrêmement difficile, comme essayer d’identifier à l’avance le prochain Apple ou Amazon dans les années 1990. Dans l’univers crypto, où les narratifs et les leaders changent en quelques mois, cette tâche est encore plus complexe. Une stratégie indicielle comme celle du NCI permet de s’affranchir de ce pari, en s’appuyant sur une méthodologie transparente et de niveau institutionnel. Au lieu de miser sur un seul actif, les investisseurs s’exposent à l’ensemble de l’innovation et de la maturité du marché, capturant ainsi les gagnants de long terme tout en évitant les risques liés à une concentration excessive.
L’approche du NCI repose sur trois piliers :
Conception institutionnelle : un indice représentatif, investissable et évolutif, qui suit les mutations du marché.
Confiance et gouvernance : les actifs doivent être cotés sur des plateformes rigoureusement sélectionnées et conservés par des dépositaires institutionnels, avec une supervision assurée par un comité indépendant de Nasdaq.
Intégrité structurelle : une méthodologie de pricing robuste, basée sur plusieurs sources de données, avec des mécanismes de pénalisation des anomalies pour éviter les biais ou points de défaillance uniques.
Ensemble, ces éléments font du NCI un outil fiable et efficace pour suivre la croissance des actifs numériques. À l’image des indices actions comme le S&P 500 ou le Nasdaq-100, qui ont permis aux investisseurs de bénéficier des grandes transformations économiques sans avoir à choisir individuellement chaque action, le NCI applique cette même rigueur au monde crypto.
Pour les conseillers et allocataires, le NCI permet de participer à la croissance du secteur sans avoir à sélectionner individuellement chaque token ou projet. HASH, notre ETP Hashdex Nasdaq Crypto Index listé sur SIX permet d’accéder à l’exposition du NCI via une structure familière, transparente, et alignée avec les standards institutionnels.
Alors que les actifs numériques s’imposent durablement dans les portefeuilles mondiaux, les stratégies indiciaires deviendront probablement la pierre angulaire de l’allocation institutionnelle à ce marché. Le Nasdaq Crypto Index constitue cette base : une porte d’entrée efficiente, diversifiée et rigoureuse vers l’économie de l’innovation construite sur les blockchains.
Pour en savoir plus sur la méthodologie du NCI et son rôle dans l’avenir de l’investissement crypto, visitez nasdaq.com ou https://hashdex.com/fr-CH/products/hash.
Samir Kerbage, Hashdex
Samir Kerbage est Chief Investment Officer chez Hashdex, un leader mondial de la gestion d’actifs crypto avec plus de 1,5 milliard de dollars d’actifs sous gestion et plus de 20 ETP cotés en Europe, aux États-Unis et en Amérique latine. Il dirige la recherche et la stratégie d’investissement de la société, fort de deux décennies d’expérience dans les marchés financiers et les technologies.
Hashdex
Fondée en 2018, Hashdex est un pionnier de la gestion d’actifs crypto réglementée. La société collabore avec Nasdaq et d’autres leaders mondiaux pour concevoir des indices transparents et fondés sur des règles, afin de simplifier l’investissement dans les actifs numériques. Présente dans plusieurs régions, Hashdex s’engage à offrir aux investisseurs un accès sécurisé, réglementé et familier aux crypto actifs.
L’incertitude stimule la demande en gestion des risques et en stratégies d’atténuation de la volatilité. Voici les résultats de l’enquête Gatekeeper Pulse® de PGIM pour un aperçu des tendances d’allocation et des enjeux clés pour 210 sélectionneurs de fonds représentant 31’000 milliards de dollars d’actifs à travers l’Europe et l’Asie.
Cap sur la résilience
Sous l’effet de conditions géopolitiques et économiques précaires, les sélectionneurs de fonds recherchent de plus en plus des gestionnaires axés sur le risque et des stratégies visant à réduire la volatilité. Face à l’incertitude, les tendances d’allocation mettent en avant une demande accrue pour des sources de revenus fiables et une diversification renforcée, notamment via les obligations publiques et les marchés privés.
Découvrez les résultats de notre enquête Gatekeeper Pulse® pour un aperçu des tendances d’allocation et des enjeux clés pour 210 sélectionneurs de fonds représentant 31 000 milliards de dollars d’actifs à travers l’Europe et l’Asie.
Tendances majeures chez sélectionneurs de fonds
Optimisme envers les obligations
Préférence pour la liquidité
Réévaluation du risque
Le privé en tête des allocations
Cette recherche met en lumière les préoccupations clés des décideurs influents dans le domaine de la sélection de fonds. Accédez au rapport complet :
Disclaimer :
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Les participants à l’enquête proviennent du Royaume-Uni, d’Autriche, d’Allemagne, de Suisse, de Belgique, des Pays-Bas, du Luxembourg, d’Italie, du Danemark, de Finlande, de Norvège, de Suède, de Singapour et de Hong Kong.
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L’enregistrement auprès de la SEC n’implique aucun niveau particulier de compétence ou de formation.
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Dans le climat actuel d’intégration et de transparence fiscale accrue, la prévalence de l’adéquation fiscale en gestion de portefeuille n’est pas seulement prudente, elle est essentielle pour le bien-être financier des investisseurs. Négliger cet aspect peut éroder leur patrimoine, leur confiance et potentiellement entraîner des pertes financières tant pour le client lui-même que pour son institution financière.
Historiquement, la gestion de fortune suisse a souvent relégué les considérations fiscales au second plan. Cette approche n’est plus tenable. En tant que professionnel de la gestion de fortune profondément impliqué dans la finance suisse, j’ai observé directement les conséquences négatives du manque de considération fiscale. Il est temps de sonner l’alarme.
Cet article expose les raisons fondamentales pour lesquelles les gestionnaires de portefeuille suisses doivent intégrer les aspects fiscaux dans leurs stratégies d’investissement. Nous explorerons les avantages indéniables d’une approche soucieuse de la fiscalité, tant pour les clients cherchant à maximiser leurs rendements après impôt que pour les institutions financières visant à renforcer leur position sur un marché concurrentiel.
S’adapter à la transparence fiscale
Autrefois synonyme de secret bancaire, la Suisse a connu une transformation profonde au cours des dernières années. En adhérant à la coopération fiscale internationale, le pays participe maintenant activement à l’échange automatique d’informations. Ce changement permet une transparence sans précédent, obligeant les institutions financières à adapter leurs pratiques pour répondre aux normes fiscales mondiales.
Dans cette nouvelle ère, négliger les aspects fiscaux de la gestion de portefeuille comporte des risques substantiels tant pour les gestionnaires de fortune que pour leurs clients. Ceux-ci peuvent désormais être confrontés à des charges fiscales inutiles, qui diminuent leurs rendements après impôt. Dans certains cas, ces négligences peuvent dégénérer en litiges impliquant potentiellement l’Ombudsman, voire en procédures judiciaires.
Un cas récent traité par l’Ombudsman des banques suisses illustre bien les conséquences potentielles. Une cliente résidant à l’étranger avait confié la gestion de sa fortune à une banque suisse. À son insu, la banque a liquidé l’intégralité de son portefeuille et a réinvesti les fonds dans un fonds interne, générant d’importantes plus-values. La cliente résidant dans une juridiction où les plus-values étaient imposables, elle a encouru une dette fiscale considérable.
Initialement, la banque a refusé d’indemniser la cliente, arguant qu’elle n’était pas tenue de tenir compte des situations fiscales individuelles. Cependant, suite à une médiation, la banque a accepté de prendre en charge 50 % des impôts dus liés à la restructuration du portefeuille.
Ce cas souligne l’importance cruciale d’intégrer les considérations fiscales dans les stratégies de gestion de fortune. Une approche proactive en matière d’adéquation fiscale améliore les rendements après impôt pour les clients, cultivant une relation de confiance. Cela atténue ainsi les risques juridiques et de réputation pour les institutions financières.
L’avantage concurrentiel : une personnalisation fiscalement adéquate
Les clients internationaux recherchent de plus en plus une gestion de portefeuille fiscalement adéquate. Étonnamment peu de firmes ont fait de ce besoin une priorité. Celles qui agissent maintenant ont donc l’opportunité de saisir ce facteur de différenciation clé. Atteindre une véritable adéquation fiscale pour les clients internationaux implique toutefois un niveau de personnalisation qui va au-delà de la gestion de portefeuille traditionnelle.
La personnalisation fiscalement adéquate implique d’adapter les stratégies d’investissement à la résidence fiscale et à la situation spécifique de chaque client. Cette approche nécessite une compréhension approfondie des réglementations fiscales internationales et la capacité d’intégrer ces connaissances dans la prise de décision en matière d’investissement.
La technologie au service de l’adéquation fiscale
Les avancées technologiques rendent désormais possible la personnalisation fiscalement adéquate à grande échelle.
Des solutions sophistiquées de gestion de portefeuille, telles que Croesus Central, ouvrent la voie. Elles fournissent des informations sur les tendances fiscales, en identifiant les passifs fiscaux potentiels et en prévoyant les implications fiscales dans de multiples juridictions. Intégrant les données fiscales de partenaires spécialisés comme Indigita, ces plateformes permettent aux gestionnaires de fortune d’optimiser les portefeuilles tout en tenant compte des implications fiscales pour les clients dans de nombreux pays. Cette approche basée sur les données facilite une prise de décision éclairée, optimise les résultats pour les clients et rationalise les processus de gestion de portefeuille.
Cependant, il est crucial de souligner que si la technologie fournit des données et des informations précieuses, elle ne remplace pas l’élément humain dans la gestion de fortune. Le pouvoir de décision finale appartient au gestionnaire de portefeuille, qui apporte son jugement professionnel et son expérience pour adapter les stratégies d’investissement aux besoins et aux préférences spécifiques de chaque client.
Pour illustrer l’application pratique de ces avancées technologiques, examinons comment Croesus Central permet aux gestionnaires de fortune de bénéficier d’informations basées sur les données. Cette solution utilise un système de notation fiscale, allant de -2 à +2, pour évaluer l’adéquation fiscale de divers produits financiers pour les clients dans différentes juridictions. Ces notations, dérivées de données fiscales complètes, offrent une évaluation claire et concise des implications fiscales associées aux différentes options d’investissement.
La plateforme utilise un système de notation complet afin d’évaluer les implications fiscales des divers investissements. Ce système fournit une indication claire des charges fiscales potentielles, allant des options très inadéquates fiscalement qui pourraient entraîner des passifs importants, aux choix très adéquats fiscalement conçus pour les minimiser. Essentiellement, le système de notation offre un moyen rapide et facile de comprendre l’impact fiscal de tout investissement donné dans le contexte fiscal spécifique du client.
En intégrant ces notations fiscales dans son moteur de rééquilibrage de portefeuille, notre solution permet aux gestionnaires de fortune de prendre des décisions éclairées concernant l’allocation d’actifs et la sélection de titres. La plateforme peut identifier automatiquement les investissements inadéquats fiscalement et suggérer des alternatives fiscalement avantageuses. Elle garantit ainsi que les portefeuilles sont alignés sur la résidence fiscale et la situation individuelle du client. Il est alors facile pour le professionnel d’accepter ou de rejeter les suggestions fournies par le système.
Cette approche permet de combiner efficacement l’utilisation de technologies pour améliorer l’adéquation et la personnalisation, tout en préservant le rôle essentiel du gestionnaire de fortune dans l’entretien des relations de confiance avec les clients et la prestation de conseils personnalisés. En intégrant stratégiquement la puissance des informations basées sur les données à l’expertise humaine, les gestionnaires de fortune suisses peuvent naviguer avec confiance dans la complexité de la fiscalité internationale et obtenir des résultats optimaux pour leurs clients.
Passez à l’action maintenant
Les gestionnaires de fortune suisses devraient agir dès maintenant pour adopter une gestion de portefeuille fiscalement adéquate. Les banques doivent tirer parti des technologies financières de pointe et de l’intelligence fiscale internationale. Elles pourront ainsi garantir la conformité aux réglementations fiscales, maximiser les rendements après impôt et offrir une expérience client personnalisée et transparente. Alors que les politiques fiscales continuent d’évoluer, l’adoption d’une gestion de portefeuille fiscalement adéquate sera une caractéristique déterminante du succès dans l’avenir en gestion de fortune.
Je crois que le secteur suisse de la gestion de fortune se trouve à un carrefour. Pour maintenir sa position estimée dans le paysage financier mondial, il doit adopter une nouvelle approche globale centrée sur le client, incluant une gestion de portefeuille soucieuse de la fiscalité. L’heure d’agir a sonné.
Romain Faraut
Croesus
Basé à Genève, Romain est le fer de lance de l’initiative d’expansion européenne de Croesus. Avant de rejoindre Croesus, il a fortement contribué à la croissance de plusieurs banques privées situées en Suisse. Romain est titulaire de certifications en gestion de fortune (CIWM), en gestion des risques (FRM) et en actifs alternatifs (CAIA).
Croesus
Croesus fournit des solutions de gestion de patrimoine innovantes, performantes et sécurisées, comprenant une solution de personnalisation de portefeuille fiscalement efficiente. Ces solutions permettent aux professionnels de la gestion de patrimoine d’accroître leur productivité, d’améliorer les relations avec leurs clients, de prendre des décisions éclairées et de simplifier la gestion des actifs sous gestion.
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« Notre banque n’est pas un conseiller fiscal » n’est plus une défense suffisante dans le monde financier interconnecté d’aujourd’hui. Négliger les implications fiscales coûte des milliards aux investisseurs chaque année, alors que la surveillance s’intensifie et que les portefeuilles se mondialisent. Les gestionnaires de fortune suisses doivent donc évoluer et intégrer les implications fiscales dans leurs décisions stratégiques.
« Nous estimons que jusqu’à 3 milliards de francs suisses sont payés en trop chaque année par les investisseurs, faute d’intégration de leur situation fiscale aux décisions de gestion », estime Romain Faraut, directeur du marché suisse pour la WealthTech Croesus.
Répondre aux exigences réglementaires
Des réglementations sont adoptées partout dans le monde pour exiger que les produits financiers proposés soient adaptés à la situation spécifique des investisseurs. En Suisse, les articles 10 et 11 de la Loi fédérale sur les services financiers, la LSFin, exigent que les firmes « vérifient le caractère approprié des instruments financiers » qu’elles proposent à chaque client.
Ce cadre juridique donne le droit aux investisseurs de s’attendre à un certain degré de diligence dans la manière dont leur situation fiscale est prise en compte, en particulier dans le cadre de relations de gestion discrétionnaire et de conseil.
Clarifier le degré de responsabilité fiscale
Bien que les banques n’offrent pas nécessairement de conseils fiscaux, leur degré de responsabilité varie en fonction de la nature de la relation client :
Le coût de la négligence fiscale
Un cas examiné par l’Ombudsman des banques suisses illustre les risques de négliger l’adéquation fiscale. Il y a quelques années, une cliente âgée résidant à l’étranger a vu son portefeuille entièrement liquidé et réinvesti dans un fonds interne par sa banque suisse, dans le cadre d’un mandat discrétionnaire. Les plus-values qui en ont résulté ont entraîné une lourde facture fiscale dans son pays de résidence.
Initialement, la banque a nié toute responsabilité, invoquant sa position de non-conseil en matière fiscale. Cependant, lors de la médiation, elle a accepté de couvrir la moitié de l’obligation fiscale. Ce cas sert d’avertissement clair : l’adéquation fiscale ne doit pas être négligée, même lorsqu’elle n’est pas contractuellement définie.
Pourquoi l’adéquation fiscale ajoute une valeur stratégique
À mesure que les régimes fiscaux évoluent et que les attentes des investisseurs augmentent, l’intégration des considérations fiscales dans les décisions de portefeuille n’est plus une option. Une stratégie robuste tenant compte des aspects fiscaux :
Une approche ciblée qui respecte la situation de chaque client, les exigences déclaratives et l’exposition fiscale est désormais une caractéristique distinctive de la gestion de fortune haut de gamme.
« L’objectif n’est pas de fournir des conseils fiscaux, mais d’écarter les produits susceptibles d’avoir des conséquences fiscales défavorables en fonction de la résidence du client, souligne Nabil Hatimy, directeur et responsable de la livraison client et des partenariats pour la RegTech Indigita SA. Il ne s’agit pas d’avoir une liste unique de produits, mais bien de prendre en compte la situation fiscale de chaque client. »
La technologie au service de la conformité et de l’efficacité
Afin de se maintenir en tête de peloton, les banques suisses se tournent vers des technologies et des partenariats qui allient conformité et personnalisation client. En intégrant les données fiscales d’Indigita dans ses systèmes, Croesus permet aux gestionnaires de fortune de comprendre de manière proactive l’impact fiscal des décisions d’investissement à travers les juridictions, faisant de l’adéquation fiscale une activité évolutive à valeur ajoutée.
« La prise en compte fiscale d’un grand nombre de portefeuilles d’investisseurs internationaux a toujours été une activité fastidieuse, complexe et coûteuse. Aujourd’hui, nous levons cet obstacle et inversons la tendance en permettant à la personnalisation fiscalement adéquate de portefeuilles internationaux de devenir une tâche à valeur ajoutée », soutient M. Hatimy.
« Croesus Central est déjà disponible pour les professionnels suisses et permet l’analyse fiscale des titres et la gestion de portefeuille fiscalement adéquate de façon intégrée, automatisée et immédiate », ajoute M. Faraut.
« Avec l’augmentation de la pression réglementaire et des exigences des clients, les gestionnaires de fortune qui intègrent l’adéquation fiscale au coeur de leur pratique ne se contenteront pas de se protéger : ils seront des leaders », conclut-il.
Romain Faraut
Croesus
Basé à Genève, Romain est le fer de lance de l’initiative d’expansion européenne de Croesus. Avant de rejoindre Croesus, il a fortement contribué à la croissance de plusieurs banques privées situées en Suisse. Romain est titulaire de certifications en gestion de fortune (CIWM), en gestion des risques (FRM) et en actifs alternatifs (CAIA).
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Croesus fournit des solutions de gestion de patrimoine innovantes, performantes et sécurisées, comprenant une solution de personnalisation de portefeuille fiscalement efficiente. Ces solutions permettent aux professionnels de la gestion de patrimoine d’accroître leur productivité, d’améliorer les relations avec leurs clients, de prendre des décisions éclairées et de simplifier la gestion des actifs sous gestion.
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Un an après son arrivée à la tête de Croesus, Vincent Fraser insuffle une nouvelle dynamique au fournisseur de solutions de gestion de patrimoine. Mandaté pour accélérer la croissance, le nouveau président affiche clairement sa stratégie : placer la performance au centre du trio des firmes, des professionnels en gestion de patrimoine et des investisseurs.
L’année dernière, M. Fraser a été nommé à la tête de Croesus, une entreprise qui offre notamment une solution de personnalisation de portefeuilles fiscalement adéquats destinée au marché suisse. En axant sa stratégie sur la performance et en réaffirmant son engagement envers ses clients, la WealthTech veut accroître son rôle en Suisse.
« Nous n’avons pas chômé, affirme M. Fraser. Au cours de cette première année, nous avons mis en place les fondements de la culture de performance qui nous caractérisera dorénavant. »
La performance au cœur du succès
Cette orientation stratégique vers la performance n’est pas anodine. Pour M. Fraser, elle est intrinsèquement liée au succès des clients de Croesus.
« Nous sommes dans un business de gains marginaux. Notre objectif vise l’amélioration de la performance de nos utilisateurs et celle-ci leur permettra d’assurer la performance globale de leur firme », souligne-t-il.
Le président de Croesus trace un parallèle avec le secteur de la Formule 1 qu’il connaît bien. Tout comme en F1 chaque gain marginal améliore la performance. Les solutions de Croesus sont les outils permettant aux équipes de gestion de patrimoine d’optimiser leur efficacité quotidienne au bénéfice des investisseurs.
« Quand on gère des milliards d’actifs de façon performante, on obtient des revenus et des bénéfices additionnels qui peuvent être réinvestis pour croître et répondre aux attentes des investisseurs », indique M. Fraser. D’ailleurs, les solutions de la société qu’il dirige permettent à ses clients de gérer 1,2 T CHF d’actifs.
Répondre aux besoins du marché suisse
Bien que Croesus soit un nouveau joueur en Suisse, l’entreprise s’appuie sur une expérience de près de 40 ans et une expertise éprouvée dans le domaine des technologies financières et des partenariats locaux.
« Notre plus grande force est notre maîtrise des technologies financières, conjuguée à la capacité de nos solutions à évoluer avec les clients. Nous sommes arrivés en Suisse avec une solide expertise, une perspective à long terme, une vision produit forte et un engagement total envers le succès de nos clients », affirme M. Fraser.
Au cours de cette première année, Croesus a fait évoluer sa solution de personnalisation de portefeuille pour répondre à un besoin propre au marché suisse, celui de la gestion de patrimoine fiscalement adéquate. En plus de permettre de personnaliser les portefeuilles en fonction des besoins et des préférences de chaque investisseur, Croesus Central permet désormais de facilement prendre en considération sa situation fiscale.
Cette offre unique sur le marché est non seulement un différenciateur pour les banques, mais il répond directement à l’obligation légale (LSFin, art. 10 et 11) de « vérifier le caractère approprié des instruments financiers » qu’elles proposent à chaque client.
« Cette solution est maintenant disponible et nous recevons de bons retours du marché, se réjouit M. Fraser. Je m’implique personnellement dans plusieurs discussions avec de futurs clients et nous abordons des aspects très stratégiques. Cela démontre que nous ne voulons pas être uniquement un partenaire technologique, mais un partenaire d’affaires qui comprend la réalité de nos clients. »
Objectif : impacts significatifs pour les banques
« Nous devons miser sur nos compétences et sur des données réelles pour investir là où il y a un impact significatif pour nos clients et nos utilisateurs », déclare M. Fraser.
Cette approche axée sur des impacts significatifs vise à répondre plus précisément aux exigences de performance des gestionnaires de fortune. Cette démarche s’inscrit dans la continuité pour l’entreprise qui a toujours placé les besoins de ses clients au cœur de ses développements.
« Durant ma première année, nous avons établi un plan stratégique s’appuyant sur des zones d’innovation et d’investissement. Tout cela en harmonie avec notre volonté de pérennité et de vision à long terme », explique-t-il.
La structure interne a été améliorée, avec l’embauche de vice-présidents en finance et en gestion de produits. Cette transition signale une volonté de renforcer l’expertise et la vision stratégique de l’entreprise.
Une transformation fondamentale, selon M. Fraser, a été la mise en place d’une structure de gestion de produits afin de se rapprocher du marché et des clients. Croesus a d’ailleurs multiplié par six les ressources allouées à son équipe produits au cours de la dernière année.
« On accélère et on accroît l’investissement, prévient M. Fraser. L’objectif est une accélération de la modernisation des solutions existantes, ainsi que l’incubation de nouveaux produits qui répondent aux besoins de performance de nos clients et à la vision de l’expérience future des conseillers financiers. »
Croesus mise aussi sur des groupes consultatifs d’utilisateurs, l’amélioration du soutien à la clientèle et l’évolution de ses formations. La WealthTech souhaite offrir un service englobant tous les aspects qui peuvent améliorer la performance de ses utilisateurs.
Cette proximité implique également une meilleure prévisibilité de livraison des produits. Croesus s’engage ainsi à être prévisible et précis sur le contenu de chaque nouvelle version, afin de permettre à ses clients de mieux planifier leurs activités.
Un enthousiasme marqué
Afin de consolider sa présence en Suisse, Croesus travaille actuellement à établir des partenariats stratégiques avec des acteurs locaux qui offrent des solutions complémentaires. M. Fraser souligne que plusieurs autres projets sont aussi en période d’incubation en partenariat avec des clients.
« Le marché peut s’attendre à voir une accélération dans les trimestres à venir de la part de Croesus », conclut M. Fraser.
Vincent Fraser
Croesus
Passionné par le monde des affaires et des hautes technologies, Vincent Fraser œuvre dans ces secteurs depuis 25 ans. Durant cette période, il a développé des expertises en leadership et en développement de stratégies de croissance qui combinent le capital humain, le financement, les fusions et acquisitions et les bonnes pratiques de gouvernance. En 2000, il a cofondé Processia, une entreprise de conseils et d’intégration de solutions en gestion du cycle de vie des produits. Il y a mené le développement international avec des opérations en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Vincent est diplômé de Polytechnique Montréal et de la Harvard Business School.
Croesus
Croesus fournit des solutions de gestion de patrimoine innovantes, performantes et sécurisées, comprenant une solution de personnalisation de portefeuille fiscalement adéquate. Ces solutions permettent aux professionnels de la gestion de patrimoine d’accroître leur productivité, d’améliorer les relations avec leurs clients, de prendre des décisions éclairées et de simplifier la gestion des actifs sous gestion.
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Dans un contexte d’incertitude économique marqué par des tensions géopolitiques durables, une inflation persistante et des marchés financiers instables, les investisseurs cherchent de plus en plus à diversifier leurs portefeuilles avec des actifs alternatifs. Parmi ces solutions, l’art contemporain, en particulier les œuvres dites blue chip, se distingue comme une option stratégique.
Historiquement, le marché de l’art a démontré une remarquable capacité de résilience. Lors de la crise financière de 2008, il n’a fallu que 20 mois pour que l’art retrouve ses niveaux d’avant-crise, contre plus de dix ans pour le CAC 40. Cette résilience renforce l’attrait de l’art en tant qu’actif patrimonial.
Les œuvres blue chip* se distinguent par leur qualité exceptionnelle, leur importance dans l’histoire et dans le marché de l’art, et la notoriété internationale de leurs créateurs – tels qu’Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat, Pierre Soulages ou encore Pablo Picasso. Grâce à ces caractéristiques, elles offrent une protection notable contre les fluctuations économiques et une certaine résilience en période d’instabilité.
En 2024, ces œuvres représentaient seulement 1 % du volume global des ventes aux enchères, mais capturaient près de 49 % de la valeur totale des transactions (Art Basel & UBS : The Art Market Report 2025). Cette concentration témoigne de leur poids stratégique sur le marché mondial et de leur capacité à préserver leur valeur même en période de ralentissement.
L’indice Artprice 100, qui simule un portefeuille d’investissement constitué des 100 artistes blue chip les plus performants, a ainsi surpassé le S&P 500 depuis l’an 2000 (artprice.com).
Matis : ouvrir l’accès à l’art blue chip
Traditionnellement, seules de grandes fortunes pouvaient accéder aux œuvres blue chip, disposant des moyens financiers conséquents et de la connaissance nécessaire pour naviguer sur ce marché exigeant. C’est pour démocratiser cet accès qu’Arnaud Dubois et François Carbone ont fondé Matis en 2023.
Matis permet aux particuliers et aux professionnels d’investir à partir de 20 000 € (18 750 CHF) dans des œuvres majeures du XXe siècle grâce à des co-investissements structurés et encadrés. Chaque investissement est organisé autour d’une “société projet” dédiée à une œuvre spécifique. La stratégie est simple : acheter en dessous du prix de marché, grâce à un accès privilégié aux réseaux de ventes aux enchères et privées, , valoriser l’œuvre avec l’appui de galeries renommées, puis la revendre dans un horizon de 2 à 5 ans.
Depuis sa création, Matis a financé plus de 50 œuvres, avec une performance nette moyenne** de 16,5 % sur un cycle moyen de 7,9 mois et un taux de rentabilité interne (TRI) annualisé net de frais de 54,4 %.***
Un modèle transparent et sécurisé
La transparence et la protection des investisseurs sont au cœur du modèle de Matis. En tant que Prestataire de Services de Financement Participatif agréé par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), Matis garantit un haut niveau de sécurité, notamment en matière d’information, de supervision et de gestion des risques.
Au-delà de la performance financière, Matis offre à ses investisseurs une expérience culturelle unique : visites privées, accès privilégié à des événements majeurs du monde de l’art et rencontres exclusives.
Ainsi, l’art blue chip s’impose comme un actif tangible, décorrélé des marchés traditionnels, idéal pour diversifier un patrimoine. Avec son approche experte, rigoureuse et accessible, Matis facilite l’accès à ce marché réputé complexe.
Hugo Rouast
Matis
Chez Matis, Hugo Rouast occupe les fonctions de Head of Advisory pour le marché suisse, l’un des principaux axes de développement de la société. Hugo possède plus de dix ans d’expérience dans les domaines de la gestion d’actifs et des relations investisseurs. Il a initié et développé plusieurs opportunités de co-investissement alternatif en Suisse, et il a également renforcé avec succès des équipes de relations investisseurs à Genève et à Zurich, notamment chez Foxstone. Hugo Rouast est diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce de Clermont-Ferrand.
Pour découvrir les opportunités d’investissement en cours, rendez-vous sur le site de Matis pour créer votre compte investisseur.
Notes
* L’art blue chip désigne des œuvres d’art de grande valeur réalisées par des artistes majeurs ayant marqué l’histoire de l’art. Reconnues par les musées, galeries internationales et collectionneurs, ces œuvres atteignent des prix élevés lors des ventes aux enchères, souvent plusieurs centaines de milliers de dollars.
** Données actualisées au 31 mars 2025. Performance nette investisseur : montant reversé à l’investisseur, net de tous frais (commission de galerie, taxes, frais Matis) et brut de fiscalité, calculé sur la différence entre le prix de cession et le prix d’acquisition de l’œuvre.
*** Données actualisées au 31 mars 2025. Taux de rentabilité interne (TRI) annualisé net de frais : indicateur de performance prenant en compte les flux de trésorerie et la valeur de revente sur un an, net de frais.
Avertissement
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés comporte un risque de perte partielle ou totale du capital investi.
Ce site web fait la promotion de services financiers. Nos conseillers en Suisse sont inscrits au registre de l’Association Romande des Intermédiaires Financiers.
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