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    • Hugo Rouast
    • Head of Advisory
    • Matis

L’art blue chip : un actif stratégique en période de volatilité

Dans un contexte d’incertitude économique marqué par des tensions géopolitiques durables, une inflation persistante et des marchés financiers instables, les investisseurs cherchent de plus en plus à diversifier leurs portefeuilles avec des actifs alternatifs. Parmi ces solutions, l’art contemporain, en particulier les œuvres dites blue chip, se distingue comme une option stratégique.

Historiquement, le marché de l’art a démontré une remarquable capacité de résilience. Lors de la crise financière de 2008, il n’a fallu que 20 mois pour que l’art retrouve ses niveaux d’avant-crise, contre plus de dix ans pour le CAC 40. Cette résilience renforce l’attrait de l’art en tant qu’actif patrimonial.

Les œuvres blue chip* se distinguent par leur qualité exceptionnelle, leur importance dans l’histoire et dans le marché de l’art, et la notoriété internationale de leurs créateurs – tels qu’Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat, Pierre Soulages ou encore Pablo Picasso. Grâce à ces caractéristiques, elles offrent une protection notable contre les fluctuations économiques et une certaine résilience en période d’instabilité.

En 2024, ces œuvres représentaient seulement 1 % du volume global des ventes aux enchères, mais capturaient près de 49 % de la valeur totale des transactions (Art Basel & UBS : The Art Market Report 2025). Cette concentration témoigne de leur poids stratégique sur le marché mondial et de leur capacité à préserver leur valeur même en période de ralentissement.

L’indice Artprice 100, qui simule un portefeuille d’investissement constitué des 100 artistes blue chip les plus performants, a ainsi surpassé le S&P 500 depuis l’an 2000 (artprice.com).

Matis : ouvrir l’accès à l’art blue chip

Traditionnellement, seules de grandes fortunes pouvaient accéder aux œuvres blue chip, disposant des moyens financiers conséquents et de la connaissance nécessaire pour naviguer sur ce marché exigeant. C’est pour démocratiser cet accès qu’Arnaud Dubois et François Carbone ont fondé Matis en 2023.

Matis permet aux particuliers et aux professionnels d’investir à partir de 20 000 € (18 750 CHF) dans des œuvres majeures du XXe siècle grâce à des co-investissements structurés et encadrés. Chaque investissement est organisé autour d’une “société projet” dédiée à une œuvre spécifique. La stratégie est simple : acheter en dessous du prix de marché, grâce à un accès privilégié aux réseaux de ventes aux enchères et privées, , valoriser l’œuvre avec l’appui de galeries renommées, puis la revendre dans un horizon de 2 à 5 ans.

Depuis sa création, Matis a financé plus de 50 œuvres, avec une performance nette moyenne** de 16,5 % sur un cycle moyen de 7,9 mois et un taux de rentabilité interne (TRI) annualisé net de frais de 54,4 %.***

Un modèle transparent et sécurisé

La transparence et la protection des investisseurs sont au cœur du modèle de Matis. En tant que Prestataire de Services de Financement Participatif agréé par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), Matis garantit un haut niveau de sécurité, notamment en matière d’information, de supervision et de gestion des risques.

Au-delà de la performance financière, Matis offre à ses investisseurs une expérience culturelle unique : visites privées, accès privilégié à des événements majeurs du monde de l’art et rencontres exclusives.

Ainsi, l’art blue chip s’impose comme un actif tangible, décorrélé des marchés traditionnels, idéal pour diversifier un patrimoine. Avec son approche experte, rigoureuse et accessible, Matis facilite l’accès à ce marché réputé complexe.

Hugo Rouast

Matis

Chez Matis, Hugo Rouast occupe les fonctions de Head of Advisory pour le marché suisse, l’un des principaux axes de développement de la société. Hugo possède plus de dix ans d’expérience dans les domaines de la gestion d’actifs et des relations investisseurs. Il a  initié et développé plusieurs opportunités de co-investissement alternatif en Suisse, et il a également renforcé avec succès des équipes de relations investisseurs à Genève et à Zurich, notamment chez Foxstone. Hugo Rouast est diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce de Clermont-Ferrand.

Pour découvrir les opportunités d’investissement en cours, rendez-vous sur le site de Matis pour créer votre compte investisseur.

 

Notes 

* L’art blue chip désigne des œuvres d’art de grande valeur réalisées par des artistes majeurs ayant marqué l’histoire de l’art. Reconnues par les musées, galeries internationales et collectionneurs, ces œuvres atteignent des prix élevés lors des ventes aux enchères, souvent plusieurs centaines de milliers de dollars.

** Données actualisées au 31 mars 2025. Performance nette investisseur : montant reversé à l’investisseur, net de tous frais (commission de galerie, taxes, frais Matis) et brut de fiscalité, calculé sur la différence entre le prix de cession et le prix d’acquisition de l’œuvre.

*** Données actualisées au 31 mars 2025. Taux de rentabilité interne (TRI) annualisé net de frais : indicateur de performance prenant en compte les flux de trésorerie et la valeur de revente sur un an, net de frais.

Avertissement

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés comporte un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

 

Ce site web fait la promotion de services financiers. Nos conseillers en Suisse sont inscrits au registre de l’Association Romande des Intermédiaires Financiers.

 

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      • Andrew Ye
      • Stratège en investissements
      • Global X ETFs

    Les dépenses de défense stimulent la tech européenne

    Face aux incertitudes géopolitiques qui persistent, l’Union européenne entend renforcer ses capacités en matière de sécurité et débloque des budgets conséquents pour accroître son autonomie militaire. De nombreuses opportunités en découlent, notamment dans le secteur technologique.

    Alors que les tensions géopolitiques s’intensifient, l’Union européenne (UE) revoit sa stratégie sécuritaire. Face à un recentrage stratégique des États-Unis, les pays européens doivent accroître leur autonomie militaire. En 2024, leurs dépenses de défense ont dépassé les 326 milliards d’euros. Une hausse supplémentaire de 100 milliards d’euros en termes réels est prévue d’ici 2027.

    Les investissements européens dans les technologies de défense pourraient s’accélérer, stimulant les valeurs du secteur. D’ici 2030, la demande devrait s’orienter vers des systèmes avancés intégrant l’IA, la cybersécurité et les données en temps réel.

    Principaux constats:

    • Les États-Unis adoptent une politique de défense recentrée sur la modernisation technologique.
    • L’UE entre dans une phase de réarmement durable, incitant à une révision stratégique.
    • La transformation numérique du secteur reste embryonnaire, notamment en Europe.

    Contexte mondial mouvant
    Avec près de 30 conflits majeurs dans le monde, l’environnement sécuritaire mondial demeure instable. Tandis que les États-Unis privilégient la modernisation interne via l’IA, les armes autonomes et les drones, l’Europe revoit ses priorités budgétaires après des décennies de sous-investissement. Cette dynamique pourrait porter les dépenses mondiales de défense à des niveaux inédits d’ici 2030.

    Accélération structurelle des budgets européens
    En 2023, les budgets militaires européens ont augmenté de 10 %, atteignant 279 milliards d’euros. D’ici fin 2024, au moins 20 pays membres de l’OTAN devraient atteindre ou dépasser l’objectif de 2 % du PIB consacré à la défense, contre seulement 9 en 2021. L’Allemagne, la France et la Pologne mènent cette croissance. L’Allemagne a notamment accru son budget de 25 %, à environ 86 milliards d’euros, devenant le troisième plus grand dépensier mondial.

    Initiatives majeures en 2025 :

    • Royaume-Uni : plan de dépenses militaires de 20 milliards £ et objectif de 2,5 % du PIB.
    • UE : programme Rearm Europe de 800 milliards €, dont 150 milliards € en prêts.
    • Allemagne : création d’un fonds hors budget de 500 milliards € pour les infrastructures de défense.
    • Sommet d’urgence à Paris : engagement à débloquer plusieurs milliards d’euros.
    • Secteur privé : hausse de 24 % des investissements en sécurité et résilience.

    L’acquisition d’équipements neufs reste prioritaire. En 2024, 90 milliards € y ont été consacrés (+50 % vs 2023), soit 27 % du budget global. Les dépenses R&D ont progressé de 18 %, atteignant 13 milliards €. Cette dynamique devrait se poursuivre.

    Numérisation : des progrès nécessaires
    Malgré des budgets records, moins de 1 % du budget militaire américain est dédié au numérique. L’écart technologique est désormais reconnu, avec une montée en puissance de l’IA et des cybercapacités. Ces technologies offrent non seulement un avantage opérationnel mais aussi une réduction des coûts.

    Trois entreprises européennes à suivre :

    • Rheinmetall AG (Allemagne) : contrat-cadre de 3,1 milliards € avec l’armée allemande pour numériser les équipements des fantassins, valable jusqu’en 2030.
    • Thales SA (France) : plus de 50 % du chiffre d’affaires et près de 60 % des bénéfices issus de la défense. Contrat de 250 millions £ avec la Royal Navy ; acquisition d’Imperva dans la cybersécurité.
    • BAE Systems (Royaume-Uni) : chiffre d’affaires record de 28,33 milliards £ en 2024 (+14 %), carnet de commandes porté à 77,8 milliards £. Forte demande d’avions, sous-marins et frégates.

    Conclusion : un cycle porteur ?
    La réorientation stratégique américaine pousse l’Europe à renforcer son autonomie militaire. Les chaînes de valeur intégrant logiciels, composants, drones ou capteurs pourraient connaître une croissance soutenue. Pour les investisseurs, une approche diversifiée axée sur la tech défense semble opportune.

    Andrew Ye

    Global X ETFs

    Andrew a rejoint Global X en 2024 en tant que stratégiste en investissement. Il est responsable de la couverture des thèmes Disruptive Technology et People & Demographics.Titulaire d’un double diplôme en commerce et en droit (Université de Nouvelle-Galles du Sud, Australie), il est également détenteur de la charte CFA.

    Global X ETFs

    Fondée en 2008, Global X ETFs propose une large gamme de stratégies ETF et gère environ 99 milliards de dollars d’actifs à l’échelle mondiale. Global X fait partie du groupe Mirae Asset Financial, acteur mondial des services financiers, avec plus de 632 milliards de dollars d’actifs sous gestion.

    Prospectus et documents KID disponibles sur www.globalxetfs.eu

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      Discipline

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        • Mark Baribeau
        • Managing director
        • Jennison Associates

      Le secret d’une croissance durable

      Les incertitudes qui ont marqué le début de l’année ont quelque peu perturbé les valeurs de croissance. Pour autant, ces turbulences n’effacent en rien le potentiel de ces titres, dont les opportunités prennent tout leur sens sur le long terme, à mesure que se confirment les tendances structurelles qui les soutiennent.

      Les marchés actions ont démarré l’année en fanfare, avant d’être brutalement freinés par les incertitudes liées au commerce mondial et à l’IA générative, qui ont secoué les marchés mondiaux. Les valeurs de croissance, notamment certaines sociétés très en vue qui avaient enregistré de solides performances ces dernières années, ont été confrontées à de nouvelles turbulences.

      Pour autant, la forte incertitude à court terme ne nous incite pas à remettre en cause notre conviction à long terme en faveur des opportunités offertes par les actions de croissance. Pour nous, l’essentiel est d’identifier les tendances séculaires durables et d’en tirer parti, tout en conservant une discipline stratégique.

      Une incertitude grandissante

      Les marchés actions témoignent du brusque changement de sentiment. La nouvelle politique commerciale américaine a déclenché une incertitude généralisée, exacerbant le potentiel d’inflation et freinant la demande mondiale. Le marché actions américain, qui a longtemps devancé ses homologues internationaux, a commencé à perdre du terrain par rapport aux indices d’Europe, d’Asie et des marchés émergents.

      L’entreprise chinoise DeepSeek a également contribué à déstabiliser les investisseurs en présentant un modèle d’IA rentable et potentiellement révolutionnaire, ce qui a fait craindre un pic précoce dans le cycle d’investissement axé sur l’IA. Le secteur de la croissance, fortement axé sur la technologie, a subi une forte correction, même si les implications à long terme de DeepSeek restent floues.

      Des tendances persistantes à l’origine de promesses à long terme

      L’investissement orienté croissance prospère en exploitant les tendances puissantes et à long terme qui remodèlent les industries et les économies. Même dans le contexte volatil actuel, plusieurs changements structurels ouvrent la voie à de formidables opportunités.

      Le potentiel évolutif de l’IA
      Bien que les opportunités de croissance restent nombreuses pour les entreprises qui fournissent la puissance de calcul et les infrastructures essentielles aux progrès de l’IA, nous privilégions la nouvelle vague d’applications pilotées par l’IA, qui, selon nous, définiront la prochaine phase majeure de croissance de l’IA.

      Fabrication de nouvelle générationLa numérisation, l’automatisation et l’électrification révolutionnent les processus de fabrication. De nombreuses entreprises proposant des solutions d’amélioration de la productivité présentent de moindres risques liés aux droits de douane. Cela crée des opportunités uniques pour les investisseurs qui ciblent ce créneau dans les secteurs industriels et technologiques.

      Accès aux marchés émergents

      Les consommateurs adoptent de puissantes plateformes technologiques financières, en particulier dans les régions où les systèmes financiers sophistiqués sont limités. Nous restons axés sur les plateformes qui facilitent les services financiers et améliorent l’accès des consommateurs aux produits et services dans les marchés émergents.

      Des marques grand public résistantes

      Les marques mondiales qui ont des modèles de vente directe aux consommateurs et un fort pouvoir de fixation des prix se distinguent dans cet environnement. Ces entreprises sont mieux placées pour s’adapter à l’évolution de la demande et à la hausse des coûts liés aux tarifs douaniers. Leur capacité à protéger leurs marges les rend particulièrement attractives.

      Innovation médicale

      Un cycle d’innovation marqué par une recherche de pointe, des thérapies révolutionnaires et des chaînes d’approvisionnement numériques favorise la demande d’écosystèmes de soins de santé plus intégrés. Nous privilégions toujours les entreprises qui innovent dans des domaines tels que le diabète, les maladies rares et les maladies chroniques.

      Réflexions stratégiques pour les investisseurs

      La volatilité des marchés exige de se concentrer sur les fondamentaux. Si les facteurs macroéconomiques pèsent sur les valorisations, les perspectives de bénéfices restent l’indicateur phare en matière de croissance. L’évolution récente des marchés a atténué le risque de valorisation, créant des opportunités de réallocation vers les valeurs les plus solides dans les secteurs à forte croissance.

      Les perturbations à court terme sont inévitables sur les marchés, mais les tendances de croissance séculaires constituent une base solide pour gérer l’incertitude. En s’alignant sur les entreprises à l’avant-garde des tendances transformationnelles, les investisseurs peuvent exploiter les opportunités à long terme tout en atténuant l’impact des turbulences de court terme.

      Mark Baribeau

      Jennison Associates

      Mark Baribeau est responsable de la supervision du processus d’investissement, de la mise en œuvre des stratégies et de la gestion des risques pour les stratégies d’actions mondiales de Jennison. Basé à New York, il est membre de l’équipe de gestion de Jennison. Mark a rejoint la société en 2011.

      Auparavant, il était gestionnaire de portefeuilles d’actions mondiales et de croissance à grande capitalisation chez Loomis Sayles et économiste chez John Hancock Financial Services. Il est titulaire d’une licence en économie de l’Université du Vermont et d’une maîtrise en économie de l’Université du Maryland. Mark est titulaire du titre de CFA et membre de la CFA Society Boston.

      PGIM Investments

      Chez PGIM Investments, nous pensons globalement et exécutons localement. Nous donnons accès à des stratégies d’investissement actives dans le but d’obtenir une surperformance constante et une expertise du marché local pour répondre aux besoins de nos clients. Nous faisons partie de PGIM, la société de gestion mondiale de Prudential Financial, Inc. (PFI), le 14e gestionnaire au monde avec plus de 1.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion et une entreprise à laquelle les particuliers et les entreprises font confiance depuis 150 ans.

       

      Document réservé aux investisseurs professionnels. Tous les investissements comportent des risques, dont celui d’une perte en capital.

      En Suisse, les informations sont publiées par PGIM Limited, par l’intermédiaire de son bureau de représentation à Zurich, dont le siège social est situé : Kappelergasse 14, CH-8001 Zurich, Suisse. PGIM Limited, Bureau de représentation à Zurich est agréé et réglementé par l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers FINMA et ces documents sont émis aux professionnels ou clients institutionnels au sens de l’Art. 4 par. 3 et 4 de la loi fédérale sur les services financiers (FinSA) en Suisse. PGIM Limited, PGIM Netherlands B.V., PGIM Luxembourg S.A., PGIM (Singapore) Pte. Ltd. et PGIM (Hong Kong) Limited sont des filiales indirectes à 100 % de PGIM, Inc. (« PGIM » et la « Société de gestion d’actifs »), la société de gestion d’actifs principale de Prudential Financial, Inc. (« PFI »), une société immatriculée et ayant son établissement principal aux États-Unis. L’entité américaine de PFI n’est affiliée d’aucune manière à Prudential plc, société constituée au Royaume-Uni, ni à Prudential Assurance Company, filiale de M&G plc, société immatriculée au Royaume-Uni. PGIM, le logo PGIM et le symbole du rocher sont des marques de service de PFI et de ses entités affiliées, enregistrées dans de nombreux pays à travers le monde. PGIM Fixed Income et PGIM Real Estate sont des marques de PGIM, un conseiller en investissement enregistré auprès de la SEC aux États-Unis. Jennison et PGIM Quantitative Solutions sont des marques commerciales de Jennison Associates LLC et de PGIM Quantitative Solutions LLC, respectivement, toutes deux étant des conseillers en investissement enregistrés auprès de la SEC et des filiales à 100 % de PGIM. L’enregistrement auprès de la SEC n’implique pas de compétences ou de formation particulières. 

      Les références à des titres spécifiques et à leurs émetteurs sont fournies à titre d’illustration uniquement et ne sont pas destinées et ne doivent pas être interprétées comme des recommandations d’achat ou de vente de ces titres. Les titres mentionnés peuvent ou non être détenus dans le portefeuille au moment de la publication et, si de tels titres sont détenus, aucune garantie n’est donnée sur le fait que ces titres continueront à être détenus.

       

      Les opinions exprimées dans le présent document sont celles des professionnels de l’investissement de PGIM au moment de leurs rédactions et peuvent ne pas refléter leurs opinions actuelles. Elles sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Ni les informations contenues dans le présent document ni les opinions exprimées ne doivent être interprétées comme constituant des conseils d’investissement ou une offre de vente ou une sollicitation pour acheter les titres mentionnés dans le présent document. Ni PFI, ni ses affiliés, ni les professionnels de la vente agréés ne donnent de conseils fiscaux ou juridiques. Les clients sont invités à consulter leur conseiller juridique, leur comptable et/ou leur fiscaliste pour obtenir des conseils sur leur situation particulière. Certaines informations contenues dans cet article ont été obtenues à partir de sources jugées fiables à la date présentée. Toutefois, nous ne pouvons garantir l’exactitude de ces informations, assurer leur exhaustivité ou garantir qu’elles ne seront pas modifiées. Les informations contenues dans le présent document sont à jour à la date de publication (ou à toute date antérieure mentionnée dans le présent document) et peuvent être modifiées sans préavis. Le gérant n’a aucune obligation de mettre à jour tout ou partie de ces informations ; il n’offre aucune garantie expresse ou implicite quant à l’exhaustivité ou à l’exactitude de ces informations.

       

      Toutes les projections ou prévisions présentées ici sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Les données réelles peuvent varier et ne pas être reflétées ici. Les projections et les prévisions sont soumises à des niveaux élevés d’incertitude. Par conséquent, toute projection ou prévision doit être considérée comme simplement représentative d’un large éventail de résultats possibles. Les projections ou prévisions sont estimées sur la base d’hypothèses, sujettes à d’importantes révisions, et peuvent changer de manière significative en fonction de l’évolution des conditions économiques et de marché.

       

      Avertissements

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      Les informations, commentaires et analyses contenus dans ce document sont fournis à titre purement informatif et ne sauraient être considérés comme un conseil en placement, un conseil fiscal, une recommandation ou un conseil en investissement de la part de Rothschild & Co Asset Management. Les informations/opinions/données contenues mentionnées dans ce document, considérées comme légitimes et correctes le jour de leur publication, conformément à l’environnement économique et financier en place à cette date, sont susceptibles d’évoluer à tout moment. Bien que ce document ait été préparé avec le plus grand soin à partir de sources réputées fiables par Rothschild & Co Asset Management il n’offre aucune garantie quant à l’exactitude et à l’exhaustivité des informations et appréciations qu’il contient, qui n’ont qu’une valeur indicative et sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Rothschild & Co Asset Management n’a pas procédé à une vérification indépendante des informations contenues dans ce document et ne saurait donc être responsable de toute erreur ou omission, ni de l’interprétation des informations contenues dans ce document. Toutes ces données ont été établies sur la base d’informations comptables ou de marché. Les données comptables n’ont pas toutes été auditées par un commissaire aux comptes. En outre, compte tenu du caractère subjectif de certaines analyses, il convient de souligner que les informations, projections, estimations, anticipations, hypothèses et/ou opinions éventuelles ne sont pas nécessairement mises en pratique par les équipes de gestion de Rothschild & Co Asset Management ou de ses affiliés, qui agissent en fonction de leurs propres convictions. Certains énoncés prévisionnels sont préparés sur la base de certaines hypothèses, qui pourront vraisemblablement différer soit partiellement, soit totalement de la réalité. Toute estimation hypothétique est, par nature, spéculative et il est envisageable que certaines, si ce n’est l’ensemble, des hypothèses relatives à ces illustrations hypothétiques ne se matérialisent pas ou différent significativement des déterminations actuelles. La présente analyse n’est valable qu’au moment de la rédaction du présent rapport. R-co 4Change Net Zero Equity Euro est un compartiment de la Société d’Investissement à Capital Variable de droit français “R-co 2”, dont le siège social est 29, avenue de Messine – 75008 Paris, immatriculée 889 511 747 RCS PARIS. Les informations ne présument pas de l’adéquation des OPC présentés au profil et à l’expérience de chaque investisseur individuel. Rothschild & Co Asset Management ne saurait être tenu responsable d’aucune décision prise sur le fondement des éléments contenus dans ce document ou inspirée par eux. En cas de doute, et avant toute décision d’investir, nous vous recommandons de prendre contact avec votre conseiller financier ou fiscal. L’Organisme de Placement Collectif (OPC) présenté ci-dessus est organisé selon la loi française, et réglementé par l’Autorité des marchés financiers (AMF). L’investissement dans des parts ou actions de tout OPC n’est pas exempt de risques. Avant tout investissement, il est impératif de lire attentivement le DIC et prospectus de l’OPC, et plus particulièrement sa section relative aux risques. Chaque investisseur doit également s’assurer des juridictions dans lesquelles les parts ou actions de l’OPC sont enregistrées. Le DIC PRIIPS/prospectus complet est disponible sur notre site Internet : www.am.eu.rothschildandco.com. La valeur liquidative (VL) / valeur nette d’inventaire (VNI) est disponible sur notre site internet. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures, et ne sont pas constantes dans le temps. La valeur des investissements et des revenus en découlant peut varier à la hausse comme à la baisse, et n’est pas garantie. Il est donc possible que vous ne récupériez pas le montant initialement investi. Les variations des taux de change peuvent affecter à la hausse comme à la baisse la valeur des investissements et des revenus en découlant, lorsque la devise de référence de l’OPC est différente de la devise de votre pays de résidence. Les performances présentées ne tiennent pas compte des éventuels frais et commissions perçus lors de la souscription et rachat des parts ou actions de l’OPC concerné. Les portefeuilles, produits ou valeurs présentés sont soumis aux fluctuations du marché et aucune garantie ne peut être donnée quant à leur évolution future. Le traitement fiscal dépend de la situation individuelle de chaque investisseur, et peut faire l’objet de modifications. Les informations présentées ne sont pas destinées à être diffusées et ne constituent en aucun cas une invitation à destination de ressortissants des États-Unis ou de leurs mandataires. Les parts ou actions de l’OPC présenté dans ce document ne sont pas et ne seront pas enregistrées aux Etats Unis en application du U.S. Securities Act de 1933 tel que modifié (“Securities Act 1933”) ou admises en vertu d’une quelconque loi des Etats-Unis. Ces parts ou actions ne doivent ni être offertes, vendues ou transférées aux Etats-Unis (y compris dans ses territoires et possessions) ni bénéficier, directement ou indirectement, à une “U.S. Person” (au sens du règlement S du Securities Act de 1933) et assimilées (telles que visées dans la loi Américaine dite “HIRE” du 18/03/2010 et dans le dispositif FATCA). Rothschild & Co Asset Management Société de gestion de portefeuille au capital de 1 818 181,89 euros, 29, avenue de Messine – 75008 Paris. Agrément AMF N° GP 17000014, RCS Paris 824 540 173. Toute reproduction partielle ou totale de ce document est interdite, sans l’autorisation préalable de Rothschild & Co Asset Management sous peine de poursuites.

       

      À propos de la division Asset Management de Rothschild & Co

      Division spécialisée en gestion d’actifs du groupe Rothschild & Co, nous offrons des services personnalisés de gestion à une large clientèle d’investisseurs institutionnels, d’intermédiaires financiers et de distributeurs. Nous articulons notre développement autour d’une gamme de fonds ouverts, commercialisés sous quatre marques fortes : Conviction, Valor, Thematic et 4Change, et bénéficiant de nos expertises de long terme en gestion active et de conviction ainsi qu’en gestion déléguée. Basés à Paris et présents dans 9 pays en Europe, nous gérons plus de 36 milliards d’euros et regroupons près de 170 collaborateurs. Plus d’informations sur am.eu.rothschildandco.com

       

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          • Jonathan Da Dalto
          • Responsable conformité & Livraison
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        Microsoft 365 : une solution informatique économique et attractive

        À mesure que la réglementation se renforce et que la volatilité augmente, la gouvernance des données devient un avantage stratégique, pour peu que l’on s’appuie sur les bons outils et les bonnes expertises. Microsoft 365 figure parmi ces solutions évidentes, à condition d’être correctement configurée pour garantir la conformité.

        Nous avons déjà vu cela. Lorsque les droits de douane imposés par Trump ont commencé à perturber les marchés mondiaux, ce sont les chaînes d’approvisionnement qui ont été les premières touchées – mais les données aussi. Aujourd’hui, avec l’incertitude géopolitique qui redéfinit les décisions commerciales, une question cruciale refait surface : où résident vos données – et qui en détient réellement le contrôle ?

        Sauf que cette fois, l’enjeu est encore plus élevé. Le coût de stockage et la latence restent des priorités, mais d’autres aspects plus critiques émergent : la souveraineté, la sécurité et les exigences croissantes en matière de conformité – et, encore une fois, la question de l’accès illimité.

        La pression réglementaire

        Autrefois, la gouvernance des données était un « plus ». Aujourd’hui, elle est incontournable. Les régulateurs comme la FINMA exigent non seulement la protection des données client, mais aussi la preuve que les entreprises peuvent y parvenir de manière systématique et documentée.

        Cela signifie mettre en place une cartographie complète des données, une gestion du cycle de vie et des stratégies de prévention des pertes – qui deviennent peu à peu des exigences réglementaires.

        Nombre d’entreprises ont conscience des besoins en cybersécurité, mais peu disposent d’un système capable de gérer l’intégralité du cycle de vie des données – de la création à la suppression – selon les standards stricts imposés par la FINMA. Pour les entreprises genevoises utilisant Microsoft 365, la solution est souvent Microsoft Purview : une plateforme conçue pour offrir la visibilité et le contrôle nécessaires.

        Le nouveau manuel de la conformité

        Microsoft Purview regroupe les fonctions de gouvernance des données de Microsoft 365 dans un cadre cohérent, permettant de garder la main sur ses données, de répondre aux exigences réglementaires et de réduire les risques.

        Voici comment Purview transforme les données – de facteur de risque à levier de résilience.

        • Cartographie des données : Purview découvre et classe automatiquement les données sensibles, garantissant un étiquetage et une protection appropriés.
        • Gestion du cycle de vie : automatise la conservation et la suppression des données, alignées avec les exigences de conformité, tout en réduisant les coûts de stockage.
        • Prévention des pertes de données (DLP) : empêche le partage inapproprié d’informations sensibles via des politiques flexibles.
        • Catalogue unifié : organise les actifs de données pour une recherche rapide et efficace.
        • Gestion de la conformité : propose des évaluations préconstruites pour des normes comme le RGPD, la LPD et l’ISO 27001, adaptables à la FINMA, la DFSA ou l’FSRA avec l’aide d’experts.

        Déployer Purview ne suffit pas

        Pour en tirer toute la valeur, il faut plus que de la technologie : il faut une expertise sectorielle, une compréhension fine des réglementations, et un accompagnement stratégique.

        C’est là que Penta fait la différence.

        Ce que les réglementations exigent (et ce qu’elles n’exigent pas)

        Mohammad Hammoudeh, expert principal en sécurité de l’information chez Penta, explique :
        « Les réglementations ne demandent jamais un outil spécifique. Elles imposent des fonctions et des mécanismes, mais jamais un nom de produit. »

        Cette distinction laisse de nombreuses entreprises dans le flou : elles savent ce qu’elles doivent atteindre, mais pas comment.
        « La FINMA veut de la transparence, de la responsabilité, du contrôle. Purview offre les outils pour cela – de la cartographie à la gestion du cycle de vie, jusqu’au reporting », conclut-il.

        La stratégie de données est un travail d’équipe

        Sans partenaire compétent, même une installation bien conçue devient obsolète à mesure que les exigences évoluent. Il faut un partenaire stratégique capable d’aligner les capacités de Purview avec vos obligations actuelles – et futures.

        Prenons l’exemple de Penta. Avec plus de 20 ans d’expérience dans les secteurs réglementés, Penta offre un accompagnement complet autour de Microsoft Purview : audit initial, conception de système, support continu, surveillance de conformité.

        Contrairement aux partenaires qui se contentent d’installer Purview, Penta adopte une démarche consultative. Nous travaillons main dans la main avec nos clients pour personnaliser la cartographie des données, optimiser les politiques de rétention et appliquer des mesures avancées comme Azure Customer Key – garantissant que seuls le client et son partenaire IT ont les clés de déchiffrement.

        Des audits réguliers, des ajustements de politique et des évaluations de conformité garantissent que l’environnement reste conforme. C’est crucial dans des secteurs comme la finance, la santé ou le juridique, où l’intégrité des données est essentielle.

        Donnez à votre stratégie de données un avantage décisif

        Alors que les exigences augmentent, seules les entreprises dotées d’une stratégie claire et adaptable tireront leur épingle du jeu.

        Avec Purview et l’accompagnement de Penta, vous avez les bons outils, le bon partenaire – et la résilience pour l’avenir.

        Prenez le contrôle des données, prenez le contrôle de votre avenir.
        Parlons-en.

        Jonathan Da Dalto

        Penta

        Jonathan Da Dalto est Responsable Conformité et Livraison chez Penta, où il veille au strict respect des normes réglementaires et pilote la mise en œuvre de solutions informatiques sécurisées et conformes. Spécialisé en gouvernance et en gestion des risques, il joue un rôle clé dans l’alignement des services avec les cadres de conformité internationaux.

        Plus d’informations : www.penta.ch

         

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          Savoir-faire

          PubliSphere

            • Vincent Fraser
            • Président
            • Croesus

          Comme en F1, la performance est le moteur du succès en gestion de fortune

          À l’instar des écuries de Formule 1, le succès des sociétés de gestion de patrimoine et de leurs conseillers repose en partie sur des gains marginaux. Dans cet univers de précision et d’efficacité, la performance des outils technologiques est un facteur clé. Elle se répercute directement sur la productivité des équipes et sur leurs résultats finaux.

          C’est le parallèle que trace le président de la WealthTech Croesus, Vincent Fraser, qui connaît bien ces deux secteurs.

          « Nous sommes dans un business de gains marginaux. Notre cible est d’offrir des solutions qui permettent à nos utilisateurs de maximiser leur performance, optimisant ainsi les résultats de leur firme, de leurs conseillers et de leurs clients », souligne-t-il.

          Pour Vincent Fraser, la performance est un élément important du succès des firmes de gestion de patrimoine, tout comme pour leurs partenaires d’affaires. 

          La course aux gains marginaux

          Des solutions de gestion de patrimoine performantes, utilisées à leur plein potentiel, sont des avantages concurrentiels pour les conseillers en investissement, les gestionnaires de portefeuilles et les firmes pour lesquelles ils travaillent. 

          « Les clients et les utilisateurs de Croesus travaillent avec des solutions qui leur permettent d’offrir une performance supérieure aux investisseurs, explique Vincent Fraser. Mais ils veulent également performer sur le plan opérationnel, que ce soit en termes de productivité, d’efficacité et de gestion des risques. »

          Si la qualité intrinsèque des solutions technologiques est primordiale, l’optimisation de leur utilisation l’est tout autant. Vincent Fraser en est bien conscient. C’est pourquoi il définit l’offre de Croesus comme « solution-en-tant-que-service ».

          « Les gains marginaux sont réalisés par les utilisateurs de nos solutions,» précise-t-il. Nous offrons des « services de performance » qui incluent nos solutions, notre support à la clientèle, la formation continue, la gestion du changement, la transformation numérique, la sécurité, ainsi que les mises à jour et l’évolution de nos produits. »

          Une culture de performance au service des clients

          Pour être en mesure d’offrir des services holistiques et performants, un fournisseur de WealthTech doit être organisé et fonctionner efficacement. C’est dans cette optique que Croesus a entrepris une transformation, plaçant la performance au centre de sa culture d’entreprise. Sa stratégie s’articule autour de quatre zones : l’incubation, la modernisation de l’offre, la performance et l’efficacité de l’organisation.

          « La mise en place de nos quatre zones est bien entamée et nous observons des signes très positifs dans chacune d’elles, se réjouit Vincent Fraser. Notre organisation centrée sur les produits se concrétise dans notre zone d’incubation, et nous voyons un engouement de la part de nos clients pour collaborer sur de nouvelles idées. »

          Une vision produit centrée sur la performance

          L’évolution des produits Croesus est intrinsèquement liée à cette culture de performance. L’objectif est de fournir aux professionnels de la gestion de patrimoine des solutions toujours plus intégrées, simplifiées, performantes et orientées vers l’avenir.

          « Notre mission est de simplifier et d’humaniser la gestion de patrimoine, rappelle M. Fraser. Pour y parvenir, nous devons offrir des solutions plus intégrées que ce qui existe sur le marché. Cela passe par des investissements stratégiques et des partenariats, afin de développer des solutions faciles à utiliser, à déployer, et qui apportent une valeur ajoutée significative en termes de performance pour nos utilisateurs. »

          Cette vision se traduit par une écoute accrue des besoins des utilisateurs, notamment à travers la mise en place de groupes consultatifs d’utilisateurs. L’objectif est de développer des fonctionnalités et des produits qui ont des impacts significatifs sur la performance de leurs activités quotidiennes.

          « L’idée n’est pas seulement de répondre aux demandes, mais d’anticiper les besoins futurs et d’incuber des solutions innovantes qui façonneront l’expérience de la gestion de patrimoine de demain », soutient Vincent Fraser.

          « Nous voulons être plus que des partenaires technologiques, nous voulons être des partenaires d’affaires », assure-t-il. « Nous voulons comprendre la réalité de nos clients. C’est pour cela que je m’implique personnellement dans plusieurs discussions avec des clients et que nous abordons des aspects très stratégiques. »

          La prévisibilité des livraisons de produits est également une priorité pour Croesus, afin de permettre à ses clients de mieux planifier leurs activités opérationnelles et d’affaires. « L’objectif est d’être plus prévisible sur ce qui sera livré, afin que nos clients puissent anticiper et intégrer ces évolutions dans leurs opérations de manière efficace », annonce-t-il. 

          Le marché peut s’attendre à voir une accélération dans les trimestres à venir de la part de Croesus », conclut Vincent Fraser. 

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            Risk management

            PubliSphere

              • Farhad Khalilnia
              • Fondateur et président-directeur général
              • Penta

            La juridiction : le nouveau risque infrastructurel

            Autrefois une préoccupation de niche, presque anecdotique, la juridiction s’avère désormais un facteur déterminant dans la stratégie d’infrastructure — et, dans ce domaine, certains pays ont bel et bien pris une longueur d’avance.

            Nous l’admettons volontiers : avoir raison dans nos prédictions est habituellement gratifiant. Mais dans ce cas, nous aurions préféré nous tromper.

            Lorsque nous évoquions, dès 2023, les défis que posaient les questions de confidentialité au gouvernement suisse, ce n’était pas un sujet de première page. Pourtant, cela aurait dû l’être, car nous mettions en lumière pourquoi les entreprises ne peuvent plus se permettre d’ignorer le rôle que joue la juridiction dans les infrastructures numériques.

            Aujourd’hui, avec le retour en force des tensions commerciales entre les États-Unis et l’Europe, la question de la souveraineté — économique, technologique et juridique — revient avec une acuité douloureuse.

            Dans les milieux technologiques, une idée fausse persiste : celle selon laquelle le stockage des données serait essentiellement une affaire technique. En réalité, chaque décision en matière d’infrastructure a des implications juridiques. Les câbles et les serveurs comptent, certes, mais les lois qui les régissent aussi.

            Le CLOUD Act donne aux forces de l’ordre américaines un large accès aux données détenues par des entreprises américaines, peu importe où ces données sont physiquement stockées. Autrement dit, un fournisseur basé aux États-Unis peut être contraint de transmettre des informations clients hébergées sur des serveurs à Zurich, Genève ou ailleurs.

            Sur le plan juridique, la souveraineté du lieu d’hébergement offre peu de protection si le fournisseur de services relève d’une juridiction étrangère. Cette tension entre frontières physiques et frontières juridiques est au cœur du débat actuel — un débat auquel bien des organisations ne se sont toujours pas pleinement confrontées.

            2025 – Quand l’Abstrait Devient Urgent

            Autrefois, dans un contexte plus prévisible, les entreprises pouvaient traiter l’exposition juridictionnelle comme un problème théorique. Mais les dernières années ont rendu cette posture intenable. Conflits commerciaux, évolutions réglementaires et instabilité géopolitique ont révélé la fragilité de nos systèmes mondiaux.

            Aujourd’hui, ces risques ne sont plus théoriques. L’administration Trump a déclaré une urgence nationale et imposé un tarif douanier généralisé de 10 % sur toutes les importations. Des tarifs supplémentaires, ciblant les pays à fort excédent commercial, incluent une hausse de 20 % sur les importations européennes.

            Pour les entreprises européennes, les implications dépassent largement la sphère économique. Pressions politiques, incertitudes juridiques et complexités réglementaires réapparaissent dans les discussions de direction. Et dans ce contexte, s’appuyer sur des fournisseurs cloud américains devient un point de vulnérabilité, même si cela paraissait autrefois un atout.

            Le chiffrement n’est pas une immunité

            Certaines entreprises tentent de répondre à ces risques par le chiffrement, ou via l’hébergement régional de données au sein des réseaux de fournisseurs globaux. Ce sont des mesures utiles, mais elles ne règlent pas le problème fondamental : la juridiction suit la propriété.

            Microsoft, par exemple, propose des fonctionnalités de chiffrement avancées qui limitent l’accès aux données, même en interne. Mais même un géant comme Microsoft reste soumis à un cadre juridique qui l’oblige à respecter la loi américaine. Le chiffrement peut ralentir ou compliquer les demandes d’accès, mais il ne peut les annuler — et ne le pourra jamais.

            La seule vraie protection contre l’exposition juridique étrangère réside donc dans une indépendance structurelle : choisir une infrastructure non seulement hébergée localement, mais également détenue et exploitée sous juridiction locale.

            La stabilité et l’autodétermination suisses

            L’approche suisse repose sur un alignement délibéré entre valeurs, lois et stratégie à long terme. Une quête de clarté juridique, de neutralité politique et de prévoyance réglementaire — non pas seulement en période de crise, mais de façon structurelle.

            L’identité suisse de Penta reflète cet alignement avec les principes nationaux — clarté légale, anticipation réglementaire, et neutralité. Ces valeurs sont inscrites dans notre fonctionnement, influençant la conception, la livraison et la défense de nos infrastructures. Nos systèmes, nos collaborateurs et nos contrats de service évoluent tous dans le cadre juridique suisse. Résultat : une prévisibilité précieuse dans un monde de plus en plus incertain.

            La Suisse n’est pas à l’abri des pressions mondiales — aucun pays ne l’est — mais son environnement réglementaire protège la vie privée, maintient la neutralité et résiste aux pressions extraterritoriales dans un esprit aligné avec les intérêts de nos clients.

            Là où d’autres ont choisi la facilité, nous avons opté pour une conception réfléchie — et cela ne changera pas.

            Les résultats parlent d’eux-mêmes. Nos clients savent où sont leurs données, qui y a accès et quelles lois s’appliquent. Cette clarté est devenue un atout compétitif majeur en période d’incertitude.

            Construire l’avenir

            Quel que soit l’avenir, les organisations qui intègrent la résilience juridique dans leurs choix d’infrastructure seront mieux armées pour s’adapter.

            Les actualités évolueront, les tarifs douaniers fluctueront — mais les besoins en clarté, en continuité et en contrôle resteront constants.

            C’est pour cela que nous avons construit Penta ainsi. C’est la raison pour laquelle, lorsque le monde changera à nouveau (et il le fera), nous n’aurons pas à courir derrière. Et nos clients non plus.

            Oui, nous avions dit que cela arriverait. Nous aurions préféré nous tromper. Mais nous avions raison — et cela n’a jamais été aussi important.

            Il est temps d’explorer ce que signifie une véritable souveraineté. Parlons-en.

             

            Retour en arrière : le CLOUD Act (ou l’affaire de stupéfiants que les États-Unis ne pouvaient pas se permettre de perdre)

            • En 2013, les procureurs américains ont exigé l’accès à des emails Hotmail liés à un vaste réseau de trafic de drogue.
            • Mais ces données ne se trouvaient pas aux États-Unis. Elles étaient stockées dans un centre de données Microsoft en Irlande.
            • Microsoft a refusé, arguant que les lois américaines s’arrêtent aux frontières.
            • L’affaire est montée jusqu’à la Cour suprême, avec une couverture médiatique internationale.
            • Juste avant le verdict, le Congrès américain est intervenu et a adopté le CLOUD Act.
            • Cette nouvelle loi accorde aux autorités américaines un droit d’accès aux données détenues par toute entreprise technologique américaine — même si ces données sont stockées à l’étranger.

            Conclusion ? Si votre fournisseur est américain, vos données sont exposées… où qu’elles soient hébergées.

             

            Farhad Khalilnia

            Penta

            Farhad Khalilnia est le fondateur et PDG de Penta, un fournisseur suisse de cloud privé créé en 1996. Avec plus de 30 ans d’expérience dans les services informatiques, il est l’un des pionniers de l’infrastructure informatique sur serveur pour les entreprises financières en Suisse. Farhad Khalilnia est diplômé de Syracuse University.

            Plus d’informations : www.penta.ch

             

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