Acquisition
Isabelle Jacob-Nebout
Indosuez Wealth Management
« Nous ne cherchons pas à multiplier les acquisitions, mais à enrichir notre proposition de valeur ».
Avec l’acquisition de la banque genevoise Thaler, Indosuez Wealth Management a franchi une nouvelle étape dans sa stratégie de développement. Plus qu’une opération de croissance externe, cette intégration illustre la volonté du groupe de renforcer sa présence en Suisse tout en élargissant sa base de clientèle à l’international, notamment au Benelux. L’essentiel étant, pour Isabelle Jacob-Nebout, de privilégier la cohérence du modèle.
Par Jérôme Sicard
Dans quel cadre stratégique s’inscrit l’acquisition de la banque Thaler ?
L’acquisition de Thaler s’inscrit dans une logique très claire de développement. Elle renforce notre présence à Genève et nous ouvre une clientèle de grande qualité, essentiellement au Benelux. Elle complète donc parfaitement notre dispositif actuel. Nous y voyons là un potentiel de croissance important. Cette opération vient dans le prolongement de l’acquisition de Degroof Petercam qui est désormais la marque sous laquelle nous opérons en Belgique. Nous ne cherchons pas à multiplier les acquisitions, mais à enrichir notre proposition de valeur pour nos clients. Thaler illustre cette approche : elle nous permet de consolider notre position en Suisse tout en préparant l’avenir avec une structure locale, forte et reconnue.
En dehors des trois milliards d’AUM, qu’apporte Thaler au dispositif existant d’Indosuez ?
La valeur de Thaler ne se résume pas à ses encours. La banque a su rassembler avec le temps une équipe de grande qualité, composée de professionnels expérimentés, très proches de leurs clients. Leur expertise est complémentaire à la nôtre et s’intègre parfaitement dans notre organisation. Thaler nous apporte aussi une culture entrepreneuriale et agile, qui est précieuse dans un marché aussi compétitif que le nôtre. De notre côté, nous apportons l’accès à toutes les possibilités offertes par les différents métiers et implantations du Groupe, ainsi qu’à notre offre Private Markets et nos capacités de financement.
Comment se conduit, concrètement, l’intégration d’une banque comme Thaler, que ce soit sur le plan culturel ou opérationnel ?
Intégrer une banque, ce n’est pas seulement une question de systèmes ou de processus, c’est avant tout une question de personnes. Nous avons choisi une approche progressive, en prenant le temps de comprendre la culture de Thaler et de préserver ce qui en fait la valeur. Pour les collaborateurs comme pour les clients, il est essentiel de sentir une continuité et une stabilité, même au cœur du changement. Sur le plan opérationnel, bien sûr, nous travaillons à harmoniser les systèmes informatiques, la conformité, les process de contrôle et de gestion. Mais nous veillons à ne pas détruire ce qui fait la spécificité de Thaler : sa proximité avec les clients, son agilité, sa rapidité de décision. Réussir une intégration, c’est justement trouver l’équilibre entre la robustesse d’un grand groupe et la souplesse d’une structure entrepreneuriale.
En dehors de la croissance externe, quels sont aujourd’hui les axes stratégiques sur lesquels vous articulez le développement d’Indosuez ?
Notre stratégie repose sur trois grands piliers. D’abord, la personnalisation et la proximité. La gestion de fortune reste avant tout une affaire de confiance et de relation humaine. Nous voulons que chaque client se sente écouté, compris et accompagné dans sa singularité. Ensuite, l’innovation et la digitalisation. Nos clients attendent des outils modernes, fluides et sécurisés, qui leur permettent de suivre et de gérer leur patrimoine avec simplicité, tout en donnant à nos conseillers les outils nécessaires pour les accompagner. Enfin, la durabilité. C’est au cœur de l’ADN du groupe Crédit Agricole, et cela répond à une attente forte de nos clients. Ils veulent que leurs investissements aient du sens, qu’ils soient alignés avec leurs valeurs, et nous devons leur proposer des solutions responsables, transparentes et performantes.
Quels sont les ambitions du groupe Crédit Agricole pour Indosuez ?
Elles sont importantes. L’objectif est d’en faire un acteur mondial dans la gestion de fortune, à partir d’un modèle solide et responsable. Ce qui implique une croissance sélective, une présence renforcée sur nos marchés clés comme la Suisse, mais aussi des investissements massifs dans la technologie, la digitalisation et les talents. Nous devons également nous montrer exemplaires sur la durabilité et les critères ESG, qui deviennent des facteurs de différenciation majeurs. Le Crédit Agricole est un actionnaire solide, qui nous apporte la stabilité et la vision à long terme qui sont indispensables pour porter ces ambitions. Du point de vue d’Indosuez, c’est une opportunité formidable de se développer tout en restant fidèle à nos valeurs.
Où en êtes-vous de votre progression sur le marché suisse ?
Il est au cœur de notre stratégie. Avec l’acquisition de Thaler, nous avons renforcé notre présence à Genève, mais nous investissons également à Lugano et à Zurich. Nous avons ainsi recruté récemment une équipe de six banquiers pour couvrir le marché tessinois. Ce sont trois pôles complémentaires, qui nous permettent de couvrir ce marché dans toute sa diversité, en adressant à la fois une clientèle locale et internationale. Nos intentions sont claires. Indosuez entend s’affirmer comme un acteur de premier plan en Suisse, reconnu pour la qualité de ses services, la solidité de son groupe, et sa capacité à gérer le patrimoine de ses clients dans toutes ses dimensions.
Quelles sont les conditions à remplir aujourd’hui pour être un acteur mondial sur le marché de la gestion de fortune ?
Il faut réunir plusieurs conditions. D’abord, avoir une taille critique. Sans cela, il est impossible d’investir dans la technologie, la conformité, les talents, qui sont autant de leviers indispensables. Ensuite, la capacité à rester proche des clients. La taille ne doit jamais se faire au détriment de la personnalisation : nos clients veulent un service humain, adapté à leurs besoins, pas une approche standardisée. Il faut pouvoir accompagner les clients dans leurs investissements en actifs réels et financiers, comme dans leurs besoins de financement, ce qui distingue un acteur universel d’un pure player au bilan et aux compétences moins étoffées dans ce domaine. Enfin, il faut un engagement fort dans la durabilité. C’est devenu un critère de confiance, mais aussi un facteur d’attractivité pour les générations futures. Les clients veulent savoir où et comment leur argent est investi. Les acteurs qui sauront conjuguer ces trois conditions – la solidité, la proximité et la responsabilité – sauront s’imposer à l’avenir.
Isabelle Jacob-Nebout
Indosuez Wealth Management
Depuis mars 2020, Isabelle Jacob-Nebout dirige l’activité Wealth management de CA Indosuez (Switzerland). Dans le cadre de ses fonctions, elle figure également au comité exécutif de la filiale suisse du groupe. Avant de rejoindre la banque, elle a occupé différents postes au sein du groupe BNP Paribas. Isabelle est diplômée de l’Inseec, à Paris. Elle a ensuite approfondi sa formation en finance et en marketing à l’Université de Californie, à Berkeley. Isabelle est également membre du conseil d’administration de l’Institut Supérieur de Formation Bancaire (ISFB) à Genève.
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DNB Asset Management, filiale à 100 % du Groupe DNB, vient d’ouvrir un bureau de représentation à Zurich, placé sous la responsabilité de Christoph Salzmann, aux côtés de Michael Bächtiger. Cette implantation marque une étape clé dans la stratégie de croissance de DNB, qui entend se positionner comme une véritable « boutique alpha » sur le marché suisse.
Par Jérôme Sicard
Quel rôle allez-vous assumer chez DNB Asset Management à Zurich?
Avec mon collègue Michael Bächtiger, nous couvre le marché suisse pour DNB Asset Management, tant pour la clientèle wholesale que pour les investisseurs institutionnels. Notre mission est double. Nous voulons développer des relations de long terme et positionner clairement nos stratégies dans un environnement concurrentiel et réglementé. Ce travail implique une présence sur le terrain, des échanges réguliers sur les portefeuilles et une communication transparente sur la performance comme sur les risques.
Quels sont vos produits phares ?
Notre fonds phare est le DNB Fund Technology. Avec environ 12 milliards d’euros d’actifs, il figure parmi les plus grands fonds technologiques mondiaux et il est certainement l’un des plus performants. Nous mettons également l’accent sur le DNB Fund Nordic Small Cap, qui se concentre sur les entreprises scandinaves innovantes, en croissance. Notre présence historique dans la région nous vaut aussi une expertise reconnue sur les obligations nordiques. Pris dans leur ensemble, les marchés nordiques, les stratégies thématiques et l’investissement durable forment notre cœur de compétences et créent des complémentarités utiles dans la construction de portefeuilles.
Quelles solutions DNB sont, selon vous, les plus adaptées au marché suisse ?
La stratégie du DNB Fund Technology, en place depuis 2001, offre un profil risque/rendement attractif. Il allie une surperformance sur le long terme à une volatilité contenue. Grâce à son approche High Conviction / Contrarian — la capacité assumée de se positionner parfois à contre-courant — il se distingue nettement d’autres fonds dans sa catégorie. Quant au DNB Nordic Small Cap Fund, il donne accès à des sociétés nord-européennes dynamiques et vient en complément des small caps européennes ou américaines. Plus globalement, nous constatons que le marché nordique s’impose comme une niche de plus en plus recherchée par les investisseurs suisses, aussi bien pour les actions que pour les obligations.
Comment expliquer que le fonds technologique ait dépassé les 10 milliards d’euros d’encours ?
L’équipe de gestion est stable. Sur cette stratégie, les portfolio managers cumulent 78 années d’expérience. L’équipe est encore placée sous la direction des deux gestionnaires qui ont créé le fonds, Anders Tandberg-Johansen et Sverre Bergland. Avec la diffusion de la technologie dans tous les secteurs, l’univers d’investissement s’est élargi et l’équipe s’est structurée autour de cinq spécialistes couvrant des segments complémentaires. Les décisions clés sont collégiales. Cette approche, à la fois ciblée et attentive aux valorisations, a démontré son efficacité dans des phases de marché exigeantes, permettant de surperformer l’indice et de nombreux concurrents sur de longues périodes.
Quelles tendances et priorités guident aujourd’hui ce fonds technologique ?
Le portefeuille se concentre sur des tendances structurelles de long terme : intelligence artificielle, logiciels B2B, infrastructure cloud et cybersécurité. Notre recherche privilégie des modèles d’affaires résilients, des avantages compétitifs tangibles et une croissance soutenable, en évitant les effets de mode. Concrètement, un poids lourd du secteur peut être exclu ou sous-pondéré si sa valorisation est jugée excessive, tandis que des sociétés bien gérées et correctement valorisées sont sélectionnées pour améliorer le couple rendement/risque du fonds.
Comment la gestion du fonds a-t-elle évolué depuis sa création ?
Le fonds figure parmi les leaders mondiaux de sa catégorie. Depuis le lancement de la part Institutional EUR A du fonds UCITS en avril 2014, il a enregistré, au 31 juillet 2025, une performance annuelle moyenne de 19,87 % en euros, avec une volatilité inférieure à 18 % sur les cinq dernières années. Cette constance s’appuie sur une discipline de gestion éprouvée, un processus d’investissement reproductible et un pilotage rigoureux des risques.
Pourquoi DNB a-t-elle choisi d’ouvrir un bureau en Suisse ?
La Suisse occupe une place centrale dans la stratégie d’expansion européenne de DNB Asset Management. Aujourd’hui, notre offre vient compléter celle déjà disponible sur le marché. Les clients suisses recherchent proximité, échanges directs et suivi à long terme. L’ouverture d’un bureau sur place répond donc à ces attentes. Elle permet d’assurer un accompagnement soutenu, adapté, et elle confirme aussi la force de notre engagement.
Comment voyez-vous le développement de DNB en gestion de fortune sur le marché suisse ?
Nous pensons que les atouts de la région nordique et de DNB — stabilité, robustesse, crédibilité — correspondent aux attentes de nombreux investisseurs suisses. Les perspectives sont donc favorables, non seulement pour nos fonds phares, mais aussi pour d’autres stratégies.
Christoph Salzmann
DNB Asset Management
Avant de rejoindre DNB Asset Management, Christoph Salzmann a passé six ans chez Principal Asset Management, où il dirigeait la distribution des fonds pour la clientèle suisse. Il a également occupé différentes fonctions, dans la gestion d’actifs comme dans le wealth management, chez UBS et BNP Paribas Asset Management, où il a pu développer une solide expertise du marché helvétique. À Zurich, pour DNB Asset Management, il codirige désormais, avec Michael Bächtiger, le développement des relations dans le segment wholesale, auprès des banques suisses, gérants indépendants, family offices et investisseurs institutionnels.
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Aymeric Converset vient de rejoindre MBS Capital au poste de directeur général adjoint. Son arrivée souligne la volonté de MBS de consolider son rôle auprès des investisseurs institutionnels et des caisses de pension en Suisse romande, en mettant plus particulièrement l’accent sur les innovations technologiques.
Par Jérôme Sicard
Pour quelles raisons avez-vous décidé de rejoindre MBS capital ?
J’ai choisi de rejoindre MBS Capital parce que son projet à long terme m’a paru singulièrement intéressant. Par ailleurs, je me retrouve pleinement dans les valeurs de l’entreprise et de ses animateurs – intégrité, rigueur, passion et innovation. Entre recherche et analyse, interactions avec les clients et dimension entrepreneuriale, c’est un métier qui se distingue par sa grande diversité. Moi-même, j’apprécie particulièrement les échanges avec de grands acteurs institutionnels et je me réjouis donc de pouvoir collaborer avec une équipe aussi talentueuse que celle de MBS.
Quel est aujourd’hui le périmètre d’activité de MBS Capital ?
MBS Capital accompagne des acteurs institutionnels, principalement en Suisse romande, à chaque étape de leur processus d’investissement. Cela va de la construction de l’allocation stratégique et l’identification des véhicules d’investissement appropriés à la consolidation des portefeuilles, la surveillance des performances et coûts ainsi que le reporting.
Vous avez dirigé la gestion quantitative chez One Swiss Bank : comment comptez-vous mettre cette expertise au service de MBS ?
MBS a toujours cherché à innover et je me réjouis de pouvoir mettre ma passion pour les outils quantitatifs et l’IA au service de l’équipe et de son plan de développement. MBS recrute principalement des personnes ayant une expérience pratique de la gestion. Dans mes nouvelles fonctions, je jouerai également un rôle dans les domaines de la communication et la stratégie d’entreprise, avec beaucoup d’enthousiasme.
Qu’est-ce qui vous intéresse plus particulièrement dans la dimension institutionnelle de la gestion d’actifs ?
Ce qui m’intéresse particulièrement dans la dimension institutionnelle de la gestion d’actifs, ce sont les échanges et le partage d’idées avec les caisses de pension. Pour moi, c’est véritablement le cœur du métier, et c’est un aspect qui me passionne énormément. J’aime aussi beaucoup l’horizon long terme des caisses de pension et les réflexions liées à cette dimension.
Quelles sont vos priorités à court et moyen terme pour renforcer le positionnement de MBS auprès des institutionnels ?
À court terme, ma priorité est de bien comprendre l’ensemble des processus et des méthodologies de MBS afin de pouvoir proposer des améliorations pertinentes. En parallèle, nous discutons actuellement d’une collaboration avec l’Université de Genève pour encadrer des étudiants en Master de Finance. Cela nous permettra d’échanger avec des professeurs de renommée mondiale et de travailler sur des projets en y apportant un regard neuf.
À moyen terme, l’objectif est de contribuer à notre vision stratégique : être un acteur de référence dans l’accompagnement des institutionnels à chaque étape de l’investissement, en s’appuyant sur des solutions technologiques intelligentes.
Vous avez mené des recherches académiques sur un processus de gestion actions qui s’inspire des réseaux de neurones ! Où voyez-vous aujourd’hui l’innovation technologique dans la gestion d’actifs ?
Selon moi, elle se situe surtout dans les outils qui appuient les approches de gestion. Cela inclut l’amélioration des processus grâce à l’automatisation de certaines tâches, notamment via des agents d’intelligence artificielle, la digitalisation et l’amélioration du reporting, ainsi que l’efficacité et la rapidité dans le codage. En revanche, l’IA générative telle que nous la connaissons aujourd’hui n’est pas encore très efficace pour les calculs complexes et ne bouleverse pas encore la façon d’investir.
Aymeric Converset
MBS Capital
Avant de rejoindre MBS Capital, Aymeric Converset dirigeait Dynagest by One, le pôle Asset management de One swiss bank axé principalement sur les clients institutionnels. Il était également membre du comité executif de la banque. Aymeric a rejoint Dynagest en 2013 comme gérant quantitatif, avant d’être promu en 2016 responsable des stratégies obligataires quantitatives, puis, en 2018, de l’ensemble des stratégies quantitatives. Aymeric Converset est titulaire d’un Master interuniversitaire en finance, délivré conjointement par les Hautes études commerciales (HEC) de Genève, Lausanne et Neuchâtel.
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À la tête du secrétariat général de l’Alliance des Gestionnaires de Fortune Suisses depuis mars 2024, Andrijana Kosic coordonne les initiatives stratégiques et assure le lien entre l’association et ses membres. Dans un contexte de pression réglementaire, de digitalisation et de hausse des coûts, elle revient sur les priorités de l’Alliance, devenue en quelques années une figure tutélaire pour l’ensemble de la profession.
Par Jérôme Sicard
Quel est votre rôle en tant que secrétaire générale de l’Alliance ?
Je coordonne les initiatives stratégiques de l’association et je gère tous les aspects administratifs. J’assure le lien non seulement entre nos membres, mais aussi avec les acteurs clés qui composent le secteur. Mon objectif est de veiller à ce que nos activités et nos services aident concrètement les gestionnaires de l’Alliance à naviguer dans un environnement de plus en plus complexe.
Je suis responsable de la mise en œuvre des décisions prises lors de notre assemblée générale, des réunions du conseil d’administration ainsi que des CEO Summits – l‘un de nos événements phares, au cours duquel les dirigeants de nos membres se réunissent pendant deux jours pour mener des discussions stratégiques et réfléchir.
Je travaille en étroite collaboration avec les douze membres du Conseil, sous la direction de notre présidente, Nicole Curti.
Quels aspects de votre fonction sont les plus stimulants ou les plus exigeants ?
C’est sans aucun doute la diversité des sujets sur lesquels je travaille : co-organisation d’événements majeurs comme les Bank Awards ou les CEO Summits, préparation des séances du Conseil, mise en œuvre d’initiatives stratégiques, organisation de formations et de webinaires…
Le plus grand défi, je dirais, est de répondre aux attentes de tous. Il faut lancer des projets qui apportent une réelle valeur à l’ensemble des membres, et les proposer dans des formats qui fassent sens pour toute la communauté.
À titre personnel, il est extrêmement gratifiant d’aider à façonner l’avenir de la gestion de fortune indépendante en Suisse.
Comment définiriez-vous la mission principale de l’Alliance aujourd’hui ?
Renforcer et défendre la position des gérants indépendants en Suisse ! Cela passe par la défense des intérêts de nos membres et la promotion de standards professionnels élevés. En interne, nous cherchons à favoriser le dialogue, à offrir une plateforme collaborative d’échange entre membres, et à répondre aux besoins de notre communauté à travers divers projets. Nous allons fêter notre dixième anniversaire l’année prochaine. Depuis que l’Alliance existe, nous avons toujours veillé à préserver cet esprit de collaboration. L’Alliance est là pour servir ses membres – et non l’inverse.
Quelles sont aujourd’hui les principales préoccupations de vos membres ?
D’après ce que j’observe, leurs préoccupations portent sur la pression réglementaire croissante et la hausse des coûts opérationnels. La planification de la relève et la transformation numérique prennent également de l’ampleur, les entreprises cherchant à pérenniser leur modèle.
Sur quoi concentrent-ils leurs priorités ?
Chaque entreprise a bien sûr sa propre approche, mais je constate que beaucoup mettent l‘accent sur l’efficacité opérationnelle, la conformité réglementaire, et la capacité à attirer de nouveaux talents.
Quels sont les projets les plus importants actuellement en cours à l’Alliance ?
Comme toujours, plusieurs initiatives clés sont en cours. Sur le plan événementiel, nous bouclons la préparation de notre prochain CEO Summit, qui aura lieu en septembre. Nous avons aussi déjà lancé l’organisation des Bank Awards, qui se tiendront à Zurich le 17 mars 2026.
Nous avons récemment obtenu l’accréditation SAQ, ce qui nous permet de proposer des formations et des workshops de grande qualité à nos membres. Ces formations couvrent des thèmes prioritaires comme l’IA générative, la cybersécurité, ou encore le private equity. Sans oublier nos mises à jour réglementaires annuelles et les rafraîchissements LBA.
Nous développons aussi des groupes de travail spécialisés pour encourager les échanges entre pairs selon les spécialités des uns et des autres. Nous avons commencé par le Compliance Hub, destiné aux responsables de la conformité. La deuxième édition s’est tenue en juin. Nous lançons désormais un CIO Forum pour les Chief Investment Officers, ainsi qu’un Founders’ Corner pour favoriser le dialogue entre fondateurs et associés seniors. Ces plateformes ont pour vocation de renforcer la collaboration et le partage d’expérience dans toute l’industrie, tout en nous donnant, à moi et aux membres du Conseil, une meilleure visibilité sur les besoins futurs de nos membres – des besoins que l’Alliance pourra identifier et traiter activement.
Andrijana Kosic
ASV-ASWM
Andrijana Kosic est Secrétaire générale de l’Alliance des Gestionnaires de Fortune Suisses depuis mars 2024. Elle a travaillé précédemment comme assistante exécutive chez Bordier & Cie où elle soutenait les activités de wealth management pour une clientèle UHNWI. Elle a occupé également le poste d’Assistant Wealth Management chez LGT Private Banking, au service de clients UHNWI au Moyen-Orient et en Amérique latine. Andrijana suit le Bachelor en Business Administration de la Kalaidos Haute Ecole Spécialisée Zurich et détient une maturité professionnelle commerciale obtenue à la KV Zurich Business School.
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Pierre-Alexandre Rousselot prend la direction de la plateforme Performance Watcher à un moment clé de son développement, pour en accélérer la montée en puissance, élargir son adoption et lui donner davantage d’ancrage dans l’univers de la gestion de fortune.
Par Jérôme Sicard
Pourquoi avoir choisi de rejoindre Performance Watcher au poste de CEO, après votre parcours plus entrepreneurial chez KeeSystem ?
Je crois que ce sera tout aussi entrepreneurial chez Performance Watcher. C’est une nouvelle étape pour moi, mais elle s’inscrit d’abord dans une certaine continuité. Je suis l’aventure Performance Watcher de très près, depuis maintenant bientôt quinze ans. Quasiment depuis son origine. Je suis ce que nous pourrions appeler « un fan de la première heure » nous avons d’ailleurs été rapidement partenaire. Ce que j’ai toujours apprécié, au-delà de l’outil, c’est la cohérence du projet.
Dans un univers financier souvent dominé par la complexité et la surenchère, Performance Watcher a su rester fidèle à une idée simple : offrir une lecture objective de la performance. Mais derrière cette simplicité apparente, il y a une vraie exigence technique qui colle à une ambition très claire.
Et puis, il y a quelque chose de plus personnel. Ce projet incarne des valeurs qui me sont chères : la pédagogie, la transparence, l’éthique – sans dogmatisme. Très honnêtement, ce n’est pas si courant de pouvoir contribuer à une initiative où l’on sent qu’on peut avoir de l’impact, sans avoir à faire de compromis sur le sens.
Que vous apporte votre expérience à la tête de KeeSystem ?
Beaucoup de choses. Performance Watcher comme KeeSystem sont deux éditeurs positionnés sur des segments proches. Les clients que j’ai rencontrés quand j’étais chez KeeSystem sont des clients que je vais retrouver maintenant que je suis chez Performance Watcher. Je vais donc pouvoir activer mon réseau, aussi bien pour la partie technique que pour la partie commerciale.
Cela dit, Performance Watcher n’est pas un PMS. C’est une approche stratégique, complémentaire. Là où les PMS proposent déjà des fonctions de data et d’analyse centrées sur des usages opérationnels traditionnels ou réglementaires, nous allons plus loin avec Performance Watcher. Nous offrons une lecture stratégique, comparative, orientée client final. Cela permet de renforcer une dynamique de pilotage patrimonial, plus moderne et plus responsable.
Quelles sont vos priorités dans vos nouvelles fonctions ?
Notre priorité, c’est la crédibilité, la légitimité de Performance Watcher que nous voulons encore renforcer pour en faire un référentiel dans le secteur de la gestion de fortune, une plateforme incontournable dès lors qu’il s’agit de rendre objective toute discussion sur la performance. Nous avons déjà une communauté fidèle et exigeante, attachée à ce principe. Il faut consolider cette base, continuer à croître, sans perdre notre cap : simplicité, clarté, indépendance. Ce que nos utilisateurs nous disent, c’est que l’outil leur permet de fluidifier les relations avec leurs clients, d’y ajouter de la transparence. C’est exactement ce que nous voulons démocratiser.
Où se situe aujourd’hui votre potentiel de croissance ?
Il est multiple. Nous travaillons de plus en plus en partenariat avec des PMS et des banques privées, qui peuvent embarquer nos instruments de mesure directement dans leurs environnements. Cela crée un effet de levier important. L’équipe aussi va évoluer, notamment dans le domaine du développement commercial. Et il y a encore des marchés très proches du nôtre que nous n’avons pas encore adressés. L’enjeu, c’est bien évidemment d’avancer vite, mais sans se disperser.
Comment l’outil va-t-il évoluer ?
Nous lançons une nouvelle version de la plateforme au dernier trimestre. Elle est actuellement en phase de test. C’est une version nettement plus fluide, plus personnalisable. Il est très important pour nous de donner la main aux utilisateurs sur leurs tableaux de bord, leurs vues, leurs analyses. On voit déjà qu’elle suscite beaucoup d’enthousiasme. C’est une évolution technique, mais c’est aussi une manière d’accélérer le travail d’éducation sur les notions de performance, de risque, de volatilité. On veut aussi faire progresser la culture financière, au sens noble du terme.
Pierre-Alexandre Rousselot
Performance Watcher
Pierre-Alexandre a pris en juin le poste de CEO au sein de la plateforme Performance Watcher. Il dirigeait auparavant KeeSystem qu’il a lui-même créée voilà un peu moins de vingt ans, avec Frédéric Gérault. Après des études en informatique, il s’est en effet spécialisé dans le développement de logiciels appliqués à la gestion d’actifs et il en est venu ainsi à lancer KeeSystem, pour permettre aux gestionnaires de fortune de gérer l’ensemble de leurs fonctions stratégiques. C’est cette expertise qu’il entend aujourd’hui mettre au service de Performance Watcher.
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Aline Fournier vient d’être nommée associée de Geneva Compliance Group, où elle occupe déjà le poste de COO. En se concentrant exclusivement sur le secteur financier, GCG assume un positionnement clair : comprendre les règles, tout autant que les enjeux métiers de ceux qui doivent les appliquer.
Par Jérôme Sicard
Quel est désormais votre rôle au sein de Geneva Compliance Group ?
Mon statut d’actionnaire vient naturellement consolider mon engagement à long terme au sein de Geneva Compliance Group, sans pour autant modifier mes responsabilités opérationnelles au quotidien. J’occupe la fonction de Chief Operating Officer depuis juillet 2023, après avoir dirigé l’équipe Conseil depuis 2020. J’ai également élargi mon périmètre en assumant la supervision de l’équipe Risk Management depuis 2024. En parallèle, je siège au conseil d’administration et j’assure la représentation légale de la société aux côtés de mon associé Guillaume de Boccard. Ce rôle global me permet de contribuer activement à la stratégie et à la gouvernance de l’entreprise, tout en restant profondément impliquée dans la gestion opérationnelle et le développement de nos services.
Sur quelles activités Geneva Compliance Group concentre-t-il ses services aujourd’hui ?
Geneva Compliance Group déploie son expertise autour de deux pôles complémentaires, pensés pour répondre aux besoins stratégiques des établissements financiers que nous accompagnons.
Le premier, notre pôle Conseil, accompagne nos clients dans la gestion des exigences réglementaires complexes, notamment en matière de règlementations fiscales comme FATCA et CRS, le droit de la surveillance financière suisse, ainsi que dans l’optimisation de leur gouvernance en matière de compliance au sens large.
Le second, notre pôle Externalisation, propose des solutions sur mesure allant du reporting et du sponsoring fiscal jusqu’à la prise en charge externalisée des fonctions de compliance et de risk management. Cette approche intégrée permet à nos clients de se concentrer sur leur cœur de métier, tout en s’appuyant sur un partenaire de confiance pour assurer la conformité et la maîtrise des risques.
Pourquoi avoir choisi de vous spécialiser aussi fortement dans le secteur financier ?
Ce positionnement est le fruit d’un choix stratégique assumé dès la création de Geneva Compliance Group. Le secteur financier est l’un des plus réglementés et les enjeux de conformité y sont à la fois complexes, évolutifs et cruciaux. Plutôt que de disperser notre expertise, nous avons choisi de nous concentrer exclusivement sur cet univers afin d’en maîtriser tous les codes, les normes et les dynamiques.
Cette spécialisation nous permet d’offrir à nos clients une réelle valeur ajoutée : des conseils sur mesure, une lecture proactive de la réglementation et des solutions opérationnelles alignées sur les meilleures pratiques du marché.
À qui s’adressent vos services ?
Nos services s’adressent principalement aux acteurs du secteur financier suisse. Nous accompagnons des gestionnaires de fortune indépendants, des gestionnaires de fortune collective, des trustees, des family offices ainsi que plusieurs établissements bancaires. Occasionnellement, nous travaillons également avec des acteurs étrangers lorsque ceux-ci souhaitent s’implanter sur le territoire helvétique ou s’ils ont des questions spécifiques en lien avec nos domaines d’expertise. En nous concentrant sur ce segment, nous offrons à nos clients une expertise ciblée, une réelle proximité métier et un accompagnement à haute valeur ajoutée.
Vous avez récemment pris la tête du pôle Risk Management. En quoi consiste cette activité ?
Assumer l’externalisation des fonctions de Risk Management revient à offrir un service stratégique au cœur des exigences réglementaires suisses. À travers cette activité, nous exerçons, pour le compte d’établissements financiers autorisés par la FINMA, les fonctions de gestion des risques définies par la réglementation. Notre approche est à la fois rigoureuse et opérationnelle, articulée autour de plusieurs axes fondamentaux : l’identification, l’évaluation et la surveillance des risques, la conception et l’implémentation de dispositifs de contrôle adaptés via une matrice, la production de rapports réguliers à destination des organes dirigeants, ainsi que le renforcement de la gouvernance interne.
Nous intervenons principalement en deuxième ligne de défense, avec une expertise transversale couvrant aussi bien les risques financiers — tels que ceux liés aux investissements — que les risques non financiers, à l’instar des enjeux cyber, aujourd’hui incontournables. Notre valeur ajoutée réside dans notre capacité à conjuguer exigence réglementaire, connaissance fine des spécificités du secteur financier suisse et agilité opérationnelle. Cela permet à nos clients de se concentrer sur leur cœur de métier, tout en assurant une maîtrise proactive de leurs risques.
Quels sont aujourd’hui les besoins les plus marqués de vos clients dans le domaine Legal & Compliance ?
Les établissements financiers suisses font face à un environnement réglementaire en constante évolution, de plus en plus dense, technique et interconnecté. Dans ce contexte, leurs besoins prioritaires portent sur un accompagnement à la fois structuré, pragmatique et expert. Ils recherchent des partenaires capables de décrypter les évolutions normatives, d’anticiper les impacts et de traduire les exigences réglementaires en dispositifs opérationnels clairs, efficaces et proportionnés à leur organisation.
La veille réglementaire devient ainsi un levier stratégique, indispensable pour maintenir la conformité et renforcer la résilience des modèles d’affaires. De même, l’adaptation continue des cadres de compliance, des politiques internes et des mécanismes de gouvernance est essentielle pour répondre aux attentes des autorités et des parties prenantes. Nous intervenons précisément à cette interface : entre complexité juridique et réalité opérationnelle, avec une approche orientée solution, conçue pour sécuriser l’activité de nos clients tout en favorisant leur agilité. Nous nous efforçons également d’adopter un discours en conformité avec la règlementation applicable et compatible avec les idées de développement d’activité de nos clients. Aider nos clients à déployer leur modèle d’affaire dans un cadre légal exigeant est notre priorité. Comprendre les défis auxquels ils font face en est la clé.
Aline Fournier
Geneva Compliance Group
Forte de son expérience de consultante au sein du cabinet d’avocats Lenz & Staehelin et d’Ernst & Young, Aline Fournier intervient désormais sur les missions de conseil de Geneva Compliance Group relatives à la mise en œuvre de nouvelles réglementations dans le secteur financier. Avant de rejoindre GCG, elle occupait le poste de Head of Legal and Compliance au sein d’une société fiduciaire suisse du groupe TMF, opérant à l’international. Elle supervisait les activités liées à la LBA, au CRS, au FATCA ainsi que la gestion des risques. Elle assurait également la gestion de la continuité d’activité (Business Continuity Management). Aline Fournier est titulaire d’un diplôme d’avocat et d’un master en école de commerce.
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