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  • Interview Charles-Henry Monchau
  • CIO
  • Banque Syz

« Je m’impose une discipline très stricte sur LinkedIn »

CIO de la banque Syz, Charles-Henry Monchau est devenu l’un des économistes les plus en vue sur LinkedIn. Son compte est suivi par 160’000 followers. Une audience qu’il a su développer dans le temps grâce à la qualité de ses contenus et à la fréquence de ses posts.

Comment se fait-il que vous ayez autant de followers sur LinkedIn, 160’000 à ce jour ?

De nos jours, il existe une quantité astronomique de publications, de posts et de tweets sur les réseaux sociaux. Mais il n’y a que les contenus de qualité qui permettent de retenir l’attention des lecteurs. Lorsque je publie, je me fixe un certain nombre de règles qui se résument en sept initiales, quatre C et trois A. Ce que j’écris doit être concis, créatif, consistant et montrer un certain esprit critique. Par ailleurs, il faut que ce soit agile – au sens où je réagis vite quand une info sort – authentique et accessible à tous. Avec cette approche, mes posts attirent constamment de nouveaux followers.

Vous parlez de consistance. Qu’entendez-vous par là ?

De par mon métier, je suis constamment des marchés, des indicateurs macro-économiques, des décisions des banques centrales ou encore des développements géopolitiques. J’ai la chance d’avoir accès à un nombre très important d’analyses et d’outils de suivi. Cet immense réservoir d’informations me permet de partager certaines d’entre elles sur LinkedIn, que cela soit en semaine ou le week-end. J’ai une discipline très stricte concernant la rédaction et fréquence de publication de ces posts. J’en sors entre dix et quinze par jour. Je ne me mets jamais sur pause, même pendant les vacances. J’alimente la machine en permanence pour rester toujours en contact. Deux autres points importants : un, je publie et j’écris moi-même mes posts ; deux, il est possible sur LinkedIn de programmer des posts à des dates et heures prédéfinies, ce qui me permet d’’exercer mon métier de CIO à plein temps mais aussi d’avoir une vie à côté de LinkedIn et du travail…

Quelles sont vos mesures d’audience, en plus de ces 160’000 followers ?

Quelques chiffres : huit à dix mille personnes atterrissent chaque semaine sur mon profil. Les posts génèrent en moyenne 500,000 vues hebdomadaires. Et certains posts ont atteint plus d’un million de vues.

Quel est le profil de vos followers ?

C’est très varié, mais ce sont tous des gens passionnés par l’investissement, par les marchés, par l’économie. Voilà ce qu’ils ont en commun. Il y a aussi beaucoup de professionnels de la finance comme moi, les collaborateurs en interne, mais aussi des clients, des prospects, des journalistes, des concurrents, des gérants de fonds, des étudiants, et peut-être parmi eux de futures recrues pour la banque. Dans cette logique, LinkedIn est un excellent filtre. Dans l’ensemble, je cible donc les acteurs clés de la finance.

Quel type de contenus privilégiez-vous ?

Le contenu est très vaste. L’essentiel porte sur la macro, les banques centrales, les marchés, la crypto – un thème assez clivant – la vie des entreprises, en veillant bien à ne jamais recommander une valeur ou un produit. Je me cale de manière générale sur l’actualité, que je décrypte à ma façon. Je propose aussi, à la marge, des contenus axés sur le leadership car je me suis rendu compte avec le temps que beaucoup de mes followers s’intéressaient à leur développement personnel et à leur carrière.

Pour tout ce qui a trait à la finance, je m’efforce surtout de rendre les contenus accessibles à tous. J’essaie de vulgariser autant que possible pour pouvoir toucher un public relativement large. Il faut être clair et structuré, ce que j’ai appris avec le temps.

Quels sont les contenus qui fonctionnent le mieux ?

Tout à l’heure, je disais qu’il était important d’être concis. Les gens ne viennent pas sur LinkedIn pour lire des romans. Ce sont surtout le visuel qui les attire, peut-être plus que les commentaires. J’utilise donc beaucoup d’images, comme des graphiques très parlants, auxquelles j’ajoute quelques lignes d’explication, mais sans trop approfondir. L’information reste relativement brute. Je pourrais également opter pour une photo de Warren Buffett accompagnée d’une de ses citations, surtout lors d’événements comme l’assemblée générale de Berkshire Hathaway. Il est essentiel que ce soit des infos qui parlent aux gens, qui attirent vite leur attention. Il est clair qu’un sujet d’actualité comme celui du Credit Suisse au printemps dernier suscite énormément d’intérêt. Ce sont des posts qui ont eu droit à des millions de vues.

Charles-Henry Monchau

Banque Syz

Charles-Henry Monchau a rejoint la banque Syz en octobre 2021, pour y prendre les fonctions de directeur des investissements. Auparavant, Charles-Henry a travaillé en tant que CIO et CCO de FlowBank, Il a également été directeur des investissements d’Al Mal Capital (Dubaï Investments) et responsable de l’équipe allocation d’actifs pour la région EMEA de Deutsche Bank. Charles-Henry est titulaire d’un MBA exécutif de l’IE Business School et d’une maîtrise en finance de HEC Genève. Il est également titulaire des qualifications CFA, CMT, CAIA et CIIA.

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    • FinTech
    • Prometee

    Le développement de solutions IA pour la gestion de fortune

    Basée dans la Sicpa Trust Valley à Lausanne et soutenue par l’EPFL, Prometee s’est spécialisée dans l’intégration stratégique de l’intelligence artificielle générative pour le secteur des services financiers. Elle développe des applications concrètes à partir de la GenAI, pour produire des solutions personnalisées, prêtes à l’emploi, comme YourGPT – une version sécurisée de ChatGPT.

    Ça sert à quoi ?

    Avec ses applications basées sur l’AI, Prometee veut répondre aux trois grandes questions stratégiques que se posent par exemple les gestionnaires de fortune:

    De quelle manière, « augmenter » les collaborateurs avec l’utilisation de technologies comme ChatGPT, tout en garantissant une bonne gestion des risques ?

    Quels processus peuvent être améliorés ou automatisés au sein de l’entreprise ?

    Quels seront les impacts sur le modèle d’affaires et quels nouveaux services envisager demain pour les clients ?

    Ces trois questions nécessitent une réflexion stratégique sur les priorités de l’entreprise. Faut-il privilégier l’efficience, la qualité, la créativité, ou l’employabilité des équipes ? Quelle que soit la réponse, il est crucial de s’assurer que le choix soit bien aligné avec la stratégie de l’entreprise et que l’expérimentation puisse démarrer rapidement.

    Prometee accompagne donc les gestionnaires dans cette réflexion stratégique et dans la réalisation du potentiel de la GenAI. Que ce soit autour des processus d’investissement, de l’optimisation du middle-office, de la gestion de la clientèle ou de la formation des équipes, Prometee veut pouvoir apporter une vision business et technologique à ses partenaires.

    Ça s’adresse à qui ?

    Prometee sert le secteur du wealth management, les gestionnaires de patrimoine de manière plus large, les banques, les assurances, et d’autres acteurs. Habituellement, les réflexions se mènent dans un premier temps avec la direction des entreprises qui cherchent à intégrer la GenAI pour booster leur compétitivité et leur efficacité opérationnelle.

    Qui est derrière ?

    Prometee a été fondée par Florian Raemy, ancien CFO chez Pictet et le Groupe Mutuel, Cristina Alvarez, responsable des initiatives GenAI chez Philip Morris, et Alexandre Zeenny, expert innovation produit chez JTI.  Ils ont lancé ensemble Prometee de manière à intégrer l’innovation sous un angle business et à générer une valeur tangible pour les entreprises avec lesquelles ils travaillent.

    Combien ça coûte ?

    Les services sont entièrement personnalisés, allant de la formation d’une demi-journée pour comprendre les enjeux de GenAI jusqu’à des transformations plus radicales d’entreprises. Le développement de Proof of Concepts se fait généralement en mode agile, sur une période de 4 à 8 semaines pour un coût variant entre 40’000 et 60’000 CHF. Cette approche garantit un impact rapide et concret, et permet de s’assurer que les cas d’usage développés amènent rapidement de la valeur.

    Plus d’informations :

    www.prometee.com 

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      • Helpdesk
      • Asana

      La gestion du travail, depuis les tâches individuelles jusqu’aux objectifs globaux. 

      Asana est un outil de gestion de projets capables en réalité, pour des PME comme les sociétés de gestion, d’assumer toute la gestion du travail au sein de l’entreprise, jusque dans les fonctions CRM. Bastien Siebman, pour iDO Tools, en livre ici les principaux avantages.

      Le logiciel Asana porte le nom d’une posture de yoga, ce qui en dit assez long sur le confort et l’agrément que l’éditeur entend apporter à ses utilisateurs. Asana, dans le monde de l’entreprise, se concentre sur la gestion de projets. Il aide les équipes à organiser, à suivre et à gérer leur travail plus efficacement. « En réalité, précise Bastien Siebman, CTO de iDO, qui distribue Asana sur le marché suisse, l’outil va bien au-delà de la simple gestion de projet. Il permet de gérer tout le travail au sein de l’entreprise, depuis les tâches individuelles, très précises, jusqu’aux objectifs plus globaux. »

      Avec Asana, il est possible de créer des tâches et de les assigner aux collaborateurs en y ajoutant des dates d’échéance, des priorités, des descriptions et des pièces jointes. Les équipes peuvent alors avancer sur les chantiers ainsi ouverts, les compéter et utiliser des fonctionnalités de discussion intégrées pour communiquer sur le travail en cours.

      Pour assurer le suivi de ces tâches, Asana propose des tableaux de bord et des diagrammes de Gantt avec lesquels les équipes visualisent leur progrès, repèrent les éventuels blocages et s’assurent que les projets tiennent les délais.

      « Dans Asana, poursuit Bastien Siebman, tous les éléments liés au travail sont connectés les uns ou les autres dans une sorte de large écosystème, qui se développe comme une pyramide.  Les tâches individuelles se rangent tout en bas. Au fur et à mesure que l’on remonte dans la pyramide, les projets viennent se fondre dans des portefeuilles de projets qui viennent à leur tour se caler dans les objectifs de l’entreprise. C’est pour cette raison, pour cette vue à 360°, que je préfère parler de gestion du travail, dans une acceptation plus large. Par rapport à d’autres outils similaires, Asana évite que des silos se forment entre différents pôles ou différents services. »

      Les fonctionnalités d’Asana permettent aux personnes en charge des projets de planifier des jalons, de créer des dépendances entre les tâches et de gérer les ressources pour obéir aussi aux considérations budgétaires.

      L’autre intérêt d’Asana est de pouvoir s’intégrer à des applications comme Slack, Google Drive, Dropbox, ou encore Microsoft Teams. Ses utilisateurs se retrouvent ainsi en mesure de centraliser leur travail et de le mener à bien avec des outils qu’ils maîtrisent déjà.

      « Asana est très flexible, reprend Bastien Siebman, sans être spécifique à une verticale donnée. Quel que soit le type de projet, ou sa taille, il y a toujours une manière de s’organiser et d’avoir une vue extrêmement synthétique sur ce qui doit être accompli, sur ce qui est urgent ou ce qui ne l’est pas. Beaucoup de nos clients ont d’ailleurs limité les créations de postes car Asana leur apportait beaucoup plus qu’ils ne pouvaient l’imaginer en termes d’organisation, ou de solutions spécifiques comme par exemple la partie CRM ».

      Starter et Advanced sont les deux principales licences proposées par Asana. Advanced coûte par exemple 25 francs par utilisateur et par mois, sur lesquels viennent se greffer l’implémentation de l’outil et la formation des collaborateurs réalisée dans le cadre d’ateliers.

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        Compliance

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        • RegTech
        • Wecan Comply

        Wecan Comply décomplexe les transferts de données

        L’application blockchain de Wecan rend les échanges de données entre tiers gérants et banques dépositaires autrement plus simples qu’ils ne l’étaient tout en les intégrant dans un environnement très sécurisé.

        WeCan Comply, ça sert à quoi?

        WeCan est une suite logicielle, qui repose sur une infrastructure blockchain. Les solutions Wecan sont Wecan Connect, une messagerie instantanée à usage professionnel sécurisée et auditable, et Wecan Comply, une plateforme d’échanges de données de conformité. Wecan Comply, qui s’inscrit dans la mouvance regtech, est un réseau privé qui propose à différentes contreparties (banques, tiers gérants, trusts et autres) des coffres-forts numériques dans lesquels elles peuvent uploader leurs bases de données KYB et bientôt KYC, et les partager de manière fluide, structurée, standardisée et auditable avec d’autres contreparties.

        Qu’est-ce que ça apporte de plus ?

        Dans le modèle traditionnel, les tiers gérants échangent une multitude d’informations avec les banques (et vice versa), au moment de l’onboarding par exemple, ou encore de la revue périodique en ayant recours à des processus manuels particulièrement chronophages. Ils le sont d’autant plus que les documents échangés requièrent de fréquentes mises à jour. Pour minimiser la charge de ces allers-retours incessants, Wecan Comply met à la disposition des banques et des gérants une interface entièrement sécurisée pour y déposer des documents de conformité et en permettre l’accès et l’echange atout moment. Wecan Comply standardise et automatise ainsi des process contraignants, pour gagner en temps et en efficacité.

        Ça s’adresse à qui ?

        A ce jour, Wecan Comply s’adresse essentiellement aux tiers gérants et aux banques dépositaires avec lesquelles ils ont l’habitude de travailler. Wecan Comply commencent à s’ouvrir à d’autres acteurs du secteur financier, comme des bourses par exemple qui doivent en passer aussi par l’onboarding de leurs clients. Wecan Comply prépare également un cas d’usage KYC destiné aux clients finaux des gestionnaires de fortune. Il est actuellement en phase de test et devrait très bientôt passer en production.

        Qui est derrière ?

        Wecan Group a été fondée en 2015 par Vincent Pignon qui enseignait auparavant à la Haute Ecole de Gestion de Genève et à l’Institut Supérieur de la Formation Bancaire. Vincent a également occupé un poste de conseiller à l’Etat de Genève dans le domaine des nouvelles technologies. Philippe Reynier l’a rejoint en mars de cette année pour officier au sein du groupe en tant que CEO.  Il dirigeait auparavant la practice Fintech & Crypto à l’échelle mondiale pour le cabinet de conseil Sheffield Haworth. Il a également été responsable de la stratégie digitale d’UBS et consultant au Boston Consulting Group Suisse, rattaché aux practices Financial Services et Technologie.

        Combien ça coûte ?

        Wecan Comply se décline aujourd’hui sous différentes formules, variables selon la façon dont la plateforme est employée. Pour les utilisateurs qui gèrent très peu de relations, les services sont proposés gratuitement. Pour les utilisateurs qui en font un emploi plus important, les tarifs sont progressifs selon l’usage.

        Plus d’informations :

        Wecan Comply | Innovative compliance for financial actors (wecangroup.ch)

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          • Storytelling
          • TypR

          Un outil IA pour améliorer la production de contenus

          Pulsar Media a lancé cette semaine une application IA pour faciliter la production de contenus, à une fréquence plus soutenue. Elle s’appelle Typr et permet par exemple d’alimenter de manière plus régulière des formats de type newsletters ou posts LinkedIn.

          Pulsar Media, le cabinet suisse spécialisé dans la communication d’entreprise, la gestion de crise et le leadership d’opinion, a lancé cette semaine une application IA, baptisée Typr, pour la création de contenus à l’usage des professionnels de la communication. « Typr est un outil basé sur l’IA générative, qui leur permet de rationnaliser les processus de création et de production de contenus, précise Sherif Mamdouh, son initiateur. Avec Typr, nous voulons introduire une nouvelle norme pour la création de contenus, qui fasse le lien entre les métiers, ou les techniques de la communication et les dernières avancées en matière d’intelligence artificielle ». Typr est disponible aujourd’hui en allemand, en anglais et en français. Il a été paramétré pour répondre plus spécifiquement aux besoins Marketing & Communication dans les secteurs de la finance, de l’immobilier, de l’hôtellerie et de l’éducation. Le wealth management entre naturellement dans son périmètre.

          Typr permet de produire différents types de contenus, tels que des communiqués de presse, des blogs, des analyses, des opinions ou des contributions éditoriales. Il propose différentes options en termes de de tonalité et de langage pour garantir que le storytelling soit aligné sur la stratégie de communication et l’identité de marque. « Nous avons voulu faciliter au maximum le processus de création avec une interface simple, intuitive qui accompagne les utilisateurs étape par étape dans la mise en forme de leurs idées, ajoute Sherif Mamdouh ».

          Typr est alimenté par un corpus spécialisé important, notamment dans le domaine de la finance, ce qui lui permet de générer des contenus personnalisés et ciblés selon les audiences. Il permet par exemple de mettre en œuvre plus facilement, et d’animer plus fréquemment des publications destinées à des newsletters ou à des posts sur les réseaux sociaux, avec un impact fort sur la relation-client. Il limite le caractère habituellement chronophage lié à la production de ces contenus en génèrant des gains de temps significatifs, tant pour la partie recherche que pour la partie écriture.

          Par ailleurs, Typr opère exclusivement sur des serveurs localisés en Suisse, sur lesquels il est hébergé, pour répondre à ces impératifs que sont la sécurité des systèmes et la protection des données.

          Plus d’informations :

          typr | Generative AI content creation

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            • Performance Watcher

            Des solutions automatisées pour un reporting détaillé

            Conçue à l’origine pour que les gérants puissent comparer leurs performances avec leurs pairs, Performance Watcher poursuit sur la même voie en proposant en parallèle de plus en plus d’outils de reporting destinés aux clients.

            Ça sert à quoi ?

            Performance Watcher est une plateforme en réseau qui permet aux gestionnaires d’évaluer et de suivre les performances de leurs portefeuilles en les comparant avec d’autres portefeuilles présentant un même budget de risque. L’application comporte de multiples fonctionnalités, dont plusieurs systèmes d’alerte et outils de reporting. Elle permet à ses utilisateurs d’accéder aux outils de comparaison quotidiens tout en conservant l’anonymat comme paramètre par défaut. Les personnes extérieures à l’organisation n’ont aucun accès aux données des portefeuilles. En revanche, les gestionnaires ont une vue globale sur les performances et les risques agrégés pour l’ensemble de la communauté.

            Ça apporte quoi de plus ?

            Avec Performance Watcher, les gestionnaires de portefeuille disposent d’une solution très simple et ultra-sécurisée pour transmettre en tout temps à leurs clients des informations clés sur le comportement de leur compte. La manière claire et transparente avec laquelle cette information est diffusée permet d’entretenir avec les clients des relations fondées sur la confiance. 

            Performance Watcher propose également un suivi rigoureux des risques, en rationalisant ce processus grâce à des calculs quotidiens et des alertes, et en éliminant ainsi le recours aux manipulations fastidieuses de feuilles de calcul.

            Enfin, Performance Watcher propose plusieurs solutions de reporting, entièrement automatisées, avec un travail en profondeur sur l’analyse des performances, leur visualisation et leur communication. Les rapports détaillés, modulables et personnalisables, permettent aux gestionnaires de bien mettre en scène leurs portefeuilles et d’en contextualiser les performances selon de multiples paramètres.

            Ça s’adresse à qui ?

            L’application Performance Watcher s’adresse principalement aux professionnels de la gestion, tels que banquiers, gérants indépendants, family officers et trustees qui veulent privilégier pour leurs clients la transparence, le suivi de la performance et le contrôle du risque jour après jour.

             Qui est derrière ?

            Performance Watcher a été créé par Nicholas Hochstadter qui a d’abord travaillé au Credit Suisse puis à la banque Ferrier Lullin & Cie. Au Credit Suisse, il a géré, entre autres, le projet PMnet, premier système totalement automatisé pour l’implémentation du portfolio management. En lançant Performance Watcher, il a voulu replacer ces modèles d’évaluation dans une configuration plus accessible aussi bien pour les gestionnaires que pour les clients. Après avoir passé plus de 25 ans dans l’asset management, notamment comme CIO de E.I.M., Eric Bissonnier l’a rejoint voilà maintenant deux ans pour assumer la direction générale de la plateforme.

            Combien ça coûte ?

            La licence Administrateur est disponible à partir de 200 francs par mois. Plusieurs fonctionnalités supplémentaires peuvent venir se greffer dessus comme le perfomètre, les services d’alerte, la génération de rapports, la visualisation dynamique de la performance et du risque ou encore la création de composites.

            Pour plus d’informations :

            Performance Watcher (performance-watcher.com)

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